Bureau etudes et vie

La géobiologie

Mythe ou réalité ?

La perception que l’être humain possède des énergies terrestres et de son environnement a été l’intérêt de toutes les civilisations de ce monde.

L’étude des influences cosmos-telluriques sur la santé des être vivants est une manière d’aborder les fondements de la vie qui remonte à l’aube de notre ère.

Les romains avant l’implantation d’une nouvelle ville, faisaient paître des moutons sur les terrains choisis pour le futur lieu de construction. Puis, les animaux étaient abattus et leurs viscères (souvent le foie) étaient examinés. Lorsque l’animal succombait d’une maladie ou que les viscères étaient abîmées, ils cherchaient un autre endroit pour vivre.

La géobiologie étymologiquement vient du grec : « Geos » qui signifie « la Terre », « Bios » qui signifie « la vie » et « Logos » qui signifie la « création, la vibration, ou encore le discours ».

A l’origine, la géobiologie existait sous une forme beaucoup plus primitive :

La «géomancie». La géomancie serait un « Art ancestral prétendu de deviner l’avenir en jetant une poignée de terre ou de poussière au hasard sur une table, pour juger des évènements futurs par les lignes et les figures qui en résultent» (définition du Grand Littré). Mais aujourd’hui, on est loin de cette pratique. Il s’agirait donc plutôt de comprendre le développement de la vie sur Terre. La géomancie existe toujours aujourd’hui mais a pris une tout autre tournure : Elle est devenue la géobiologie des haut lieux telluriques et lieux chargés d’énergies planétaires. Celle-ci est principalement développée en France, en Allemange, en Suisse allemande et en Autriche.

Par extension c’est l’étude de l’influence du sol sur tout ce qui est vivant (homme, animal, végétal). De l’énergie qui anime notre terre et dans laquelle les êtres vivants puisent leurs ressources vitales. La géobiologie nécessite l’apprentissage par des instruments scientifiques mais aussi par notre sensibilité des choses qui ne nous apparaissent point c’est-à-dire de l’environnement invisible.

La Géobiologie est avant d’être une « science », une discipline, ce qui signifie qu’un certain nombre de techniques sont à apprendre en suivant un enseignement théorique et pragmatique, de la même façon que lorsque l’on apprend à jouer d’un instrument de musique. Le géobiologue doit d’abord apprendre à redevenir un « sensitif » en respectant les trois clefs fondamentales : l’observation, la sensation et la détection. Il sait toujours que « savoir vaut mieux que croire ».

Le professionnel géobiologue appprendra à évoluer avant tout dans un espace tridimentionnel et non bidimentionnel. L’exemple le plus simple pour illustrer cela est d’emporter avec soi une boule de cristal à l’extérieur afin d’y retrouver l’entièreté de la biosphère. Celle-ci étant visible mais inversée de 180°. Il faut dès lors avoir conscience que notre corps évolue dans un système deux fois tridimentionnel et que par conséquence, les ondes qui l’entroure sont elles aussi deux fois tridimensionnelles.

Les connaissances scientifiques et techniques modernes permettent au professionnel géobiologue de définir un certain nombre de paramètres scientifiques et techniques dont il devra tenir compte dans ses recherches. Mais c’est aussi un art ancestral qui se base sur une perception sensitive des rayonnements électromagnétiques naturels issus de la biosphère énergétique.

Cependant, depuis l’avancée des connaissance modernes, le géobiologue s’est spécialisé dans des matières diverses telles que : la bio-construction, la mesure des champs électromagnétiques, l’indoor pollution (pollution chimiques, allergènes, bio-marqueurs…), la biophysique, l’astronomie, la géophysique, l’écologie, etc… Autrement dit, il est devenu un conseiller en habitat sain dont les services seront utilisés préventivement lors de l’achat d’un terrain à bâtir ou plus tard lorsque des problèmes de santé existent suite à l’exposition à des rayonnements pathogènes dans une habitation ou un lieu de travail.

Il y a dès lors une approche purement scientifique basée sur un enseignement théorique rigoureux et sur l’usage d’appareils de mesure mais également sur une approche non conventionnelle basée sur la perception que l’homme possède de son environnement électromagnétique et par extension de sa biosphère. Cette dernière approche à ses limites et nous en tiendrons compte dans les évaluations et dans les mesures à prendre pour bio-assainir un lieu.

Enfin, il serait juste ici de remercier plus particulièrement pour leur énorme contribution : Pour leur recherches en géopathologie, les chercheurs et professeurs assidus tels que : Le physicien allemand Reinhard Schneider, Le docteur allemand Ernst Hartmann, L’ingénieur allemand L. Meersman, Le Baron Gustav F. von Pohl, le Docteur Curry, l’allemande Madame Käthe Bachler, le géobiologue allemand Paul Schweitzer, le géophysicien russe A.P. Dubrov, l’ingénieur allemand Hartmut Lüdeling et le professeur belge Walter Kunnen du groupe.

La Terre-résonateur

La surface de la Terre forme avec l’ionosphère un gigantesque résonateur dont les fréquences de résonance varient en fonction du temps au cours du jour et de la nuit.

Le prof. W.O. Schumann [1,2] a montré que dans l’environnement naturel de la biosphère existent des champs pulsés particuliers. Ces champs appelés champs Schumann peuvent fluctuer en fonction de l’activité solaire (orages magnétiques), d’orages atmosphériques. C’est le rythme du résonateur terre-ionosphère qui les réactive et les régularise continuellement.

La vie sur la terre est née dans cet environnement électromagnétique et magnétique particulier. Les organismes occupant la biosphère ont utilisé les rythmes de ces champs pour élaborer leurs propres cycles et leurs propres systèmes de bio communications. On peut pratiquement considérer que ces rythmes ont finalement conditionné les êtres vivants…

Ce concept nous ramène aux structures dissipatives d’I. Prigogine. [3]

Depuis les expériences du Prof. F. A. Brown [4], du laboratoire de biologie marine de Woods Hole (U.S.A.) entre 1960 et 1970, on sait que les cycles vitaux d’organismes simples sont perturbés par l’exposition à de petits aimants permanents de même intensité que le champ magnétique terrestre (0,5 à 0,7 gauss) mais dirigés en sens inverse.

Nous découvrons maintenant que de faibles modifications cycliques du champ magnétique terrestre servent d’étalon à notre « horloge interne » et lui fournissent ses points de repère dans les rythmes journaliers échelonnés sur 24 heures (nycthéméraux et peut-être saisonniers).

Cette horloge interne est la glande pinéale (ou épiphyse) qui secrète la mélatonine. La mélatonine est une hormone dont l’importance est capitale dans le comportement des individus en raison de son pouvoir régulateur sur différents cycles biologiques. Or, l’irrégularité des cycles biologiques provoque un syndrome de stress, lequel peut être la cause d’une quantité de symptômes cliniques, y compris une diminution de la réactivité du système immunitaire.

Lorsque la glande pinéale reçoit des informations électromagnétiques et magnétiques de l’environnement, non conformes au schéma naturel, elle ne sécrète plus le flux normal d’hormones parmi lesquelles figure la mélatonine et le stress décrit ci-dessus apparaît avec sa cascade de conséquences.

Aujourd’hui, l’homme a mis en place un environnement artificiel totalement différent de l’environnement naturel. Non content d’empoisonner la terre, les rivières, les fleuves et les lacs par des rejets inconsidérés de substances chimiques toxiques, il modifie continuellement l’ambiance électromagnétique de toute la biosphère.

L’ensemble du spectre électromagnétique est concerné : depuis les extrêmement basses fréquences (E.L.F.) des lignes à haute tension et des ordinateurs jusqu’aux rayonnements visibles des éclairages nocturnes, en passant par les ondes radio, les faisceaux de micro-ondes (téléphones cellulaires, stations radar et satellites) et les rayonnements infra-rouges (chaleur) [5].

Nous vivons aujourd’hui dans un véritable « brouillard » électromagnétique, électrique et magnétique : « l’électrosmog ». On peut considérer qu’à la surface de la terre, aujourd’hui, la densité des rayonnements électromagnétiques artificiels représente plusieurs milliards de fois la densité des rayonnements naturels.

Hélas, notre glande pinéale, sensible à toutes ces perturbations se dérègle et son dérèglement provoque à court ou à long terme d’importants troubles fonctionnels puis organiques en cascades. Nous savons aujourd’hui de manière indiscutable que les ondes émises par la téléphonie mobile « ouvrent » la barrière sang-cerveau et permettent ainsi le passage de substances indésirables dans le cerveau. Les conséquences de ces passages intempestifs ne sont pas évaluables, tant les risques sont élevés.

Dans nos villes, nous avons créé des structures gigantesques dont les carcasses métalliques nous coupent des basses fréquences venant du cosmos et de la terre.

Les structures enterrées, l’abaissement du niveau des nappes phréatiques à cause des pompages, l’asphaltage des rues modifient la conductivité du sol dans son ensemble et sa perméabilité magnétique naturelle.

Tout cela nous éloigne des conditions électromagnétiques naturelles qui furent le berceau de l’épanouissement de l’homo sapiens.

Les professeurs Nakagawa, Kawai et Rikitake (Hopital Isuzu Tokyo) estiment que depuis cent ans l’influence du champ magnétique terrestre naturel a diminué de 5 % dans les villes japonaises, ce qui aurait induit un syndrome de « carence en champs magnétiques naturels » très préjudiciable à la santé humaine [6,7,8] Les champs géomagnétiques naturels ont une composante constante (0,5 – 0,7 gauss) sur laquelle se superposent des micro-pulsations dont la fréquence est comprise entre 7 et 30 Hertz (avec un maximum d’intensité pour les fréquence de 10 à 12 Hz et une rupture nette après 30 Hz). Il est bien curieux de constater que c’est précisément dans cette bande de fréquences que se situent les fréquences propres du cerveau (alpha, thêta, delta et bêta) objectivables sur électroencéphalographe ou sur spectromètre à interférence quantique (SQUID) [9]:

Références bibliographiques

[1] Schumann W.O. « Über elektrische Eigenschwingungen des Hohlraumes Erde –Luft – Ionosphäre erregt durch Blitzentladungen », Z. angew. Phys. 9, pp.373-377 (1957).

[2] König H.L. « Unsichtbare Umwelt, Der Mensch im Spielfield elektromagnetischer Kräfte » Edition à compte d’auteur, 5e Ed., Munich (1986).

[3] Prigogine I et Stengers I ; « La nouvelle alliance », Ed. Gallimard, Paris (1979).

[4] Brown F.A. « Some orientational influences of non visual, terrestrial electromagnetic fields »; Ann. N. Y. Acad. Sci. 188, pp. 221-241 (1972).

[5] Smith C.W., Best S. « L’homme électromagnétique », Ed. Pietteur Liège (2002).

[6] Nakagawa K.: « Magnetic field deficiency syndrom »; Japan Med. Journ., n° 275, 4.12.1976.

[7] Sato T. « Overall evaluation of clinical trials with Hile Ban in Chihaya Hospital and Saseho Kyosai Hospital », Mars 1979.

[8] Nakagawa K., Kawai, Rikitake: « Research and hypothesis about magnetic fields treatments » Hospital Isuzu-Tokyo.

[9] Vincent Courtillot et Jean Louis Le Mouël. « Le champ magnétique de la terre ». La Recherche N°59, Vol 6. septembre 1975.

Les réseaux telluriques

Depuis au moins cent ans, la physique moderne a pris conscience que l’univers tout entier s’organise grâce aux rayonnements qu’il génère. Seulement, une toute petite partie de ces radiations est connue.

La science explore encore ce monde avec beaucoup d’intérêt. Beaucoup de particules observées en astronomie sont porteuses d’informations qui expliqueraient l’origine de la vie sur terre.

Dans la mesure où ces particules sont à l’origine de la vie il n’est pas impossible qu’elles nous animent également. L’hypothèse selon laquelle des rayonnements telluriques géostationnaires sont biologiquement actifs remontent depuis les Chinois il y a 2500 ans. Avec la découverte de ces « grilles codées » et mobiles situées entre l’ionosphère et la terre, nous subissons une influence électromagnétique cosmique (soleil, saturne, vénus…) sur notre bien-être de manière journalière. Cette influence peut être favorable ou défavorable sur la qualité de notre sommeil et sur notre humeur (rythmes biologiques circadiens). La structure de ces réseaux est le plus souvent cubique.

L’observation des champs telluriques (et non des courants telluriques connus des géologues) sont mis en évidence depuis toujours dans de nombreux pays et cultures différentes (Egypte, Chine, Mexique, Celte, Romain.). De nombreuses constructions sacrées ont été dressées à certains endroits judicieusement choisis avec comme but principal le fait de réussir la momification biologique (conservation des aliments). Les fondations de ces sites sacrés étaient alignées par rapport à ces réseaux d’ondes géostationnaires et orientées scrupuleusement par rapport au Nord magnétique. Cette connaissance a été partiellement perdue au cours des siècles, surtout au Moyen Age. Cependant dans quelques cloîtres religieux, cette connaissance a encore été enseignée. C’est ainsi que l’on parlait de « lignes d’éloquence » ou de « lignes des Saints ». Ainsi plusieurs Cathédrales ont été construites sur base de ces connaissances (Chartres, Amiens…). Dans nos habitations modernes il est possible d’utiliser les énergies de ces réseaux telluriques pour créer une atmosphère positive dans le lieu.

Ces structures orthogonales ressemblant aux méridiens et aux parallèles peuvent exercer une certaine influence sur la santé des êtres vivants. Plus le séjour sera long sur un croisement associé à une anomalie géologique (courant d’eau souterrain, fissures etc…), plus un effet défavorable se manifestera sur notre bien-être en affectant en premier notre système nerveux et ensuite notre système immunitaire. Même si l’architecture est parfaite au point de vue esthétique, résistance des matériaux et des proportions, ces rayonnements peuvent encore exercer une influence.

Ces radiations nous entourent et nous accompagnent constamment. Elles sont nécessaires à la vie mais leurs effets changent lorsqu’elles sont « contrariées » par des anomalies géologiques. Alors elles deviennent porteuses d’une information pathogène. Notamment lorsqu’elles rencontrent les champs artificiels créés par l’homme où lorsque elles croisent une veine d’eau etc…

Des quantités impressionnantes de corrélations entre les anomalies géologiques, les « nœuds géopathogègnes » (association d’un ou plusieurs croisements telluriques et d’une veine d’eau ou d’une faille) et les altérations de la santé qui en découlent ont étés réalisés par le célèbre Dr Ernst Hartmann (Université de Heilderberg – Allemagne) et on peut le considérer comme le père de la géopathologie. Il a mis en évidence un réseau tellurique qui porte son nom aujourd’hui : le « réseau Hartmann ». Ce réseau couvre toute la terre du nord au sud et d’est en ouest. Il se répète tous les 2,5 mètres dans l’axe oest-est et tous les deux mètres dans l’axe nord-sud. Les croisements sont à éviter uniquement lorsqu’il y a une superposition de ceux-ci avec une veine d’eau ou une faille géologique (nœud tellurique géopathogène). La suppression du lit au dessus ou à proximité de cette zone perturbée suffit parfois à soulager le corps d’un facteur de stress subit toutes les nuits et perceptible au niveau cellulaire.

Mais les connaissances après Hartmann ont encore fortement évoluées.

Il existe en réalité plusieurs réseaux telluriques plus ou moins intenses. Voici les plus connus :

Le grand réseau Global ou grand réseau sacré (7,6 L.A)

Le grand réseau diagonal (8,2 L.A)

Le petit réseau global ou réseau Hartmann (12,2 L.A)

Le petit réseau diagonal ou réseau Curry (6,9 L.A)

L’étude de ces réseaux ainsi que leur détection et la façon de s’en protéger ne peut s’apprendre que lors d’un séminaire scientifique et technique organisé par des spécialistes. On ne s’improvise pas dans cette matière, il faut être initié à l’apprentissage de l’antenne de Lecher (outil de détection professionnel des rayonnements telluriques) afin d’étudier en trois dimensions les influences de la biosphère énergétique et ses conséquences sur le vivant.

Le stress géopathogène

En janvier 1929, le Baron Gustav Freiherr Von Pohl et un gendarme réalisaient systématiquement des visites dans les maisons d’une commune Bavaroise située en Allemagne du sud et plus précisément dans la ville de Vilsbiburg. Cette ville comptait 565 maisons, 3,300 résidents, mais surtout un exceptionnellement haut taux de cancer.

Von Pohl agissait sur un pressentiment inspiré de l’étude Winzer-Melzer de Stuttgart dans les années 1920 et qui avaient mis en évidence des fissures géologiques sous cette ville. Les taux anormaux de cancer sur ces axes géologiques avaient déjà été observés. La conclusion était qu’un rayonnement toxique inconnu venant du sol contribuait au développement des cancers.

Grâce à des techniques radiesthésiques, Von Pohl avait localisé d’importantes sources d’eau souterraines de 3-4 mètres de large et d’une profondeur de 44-50 mètres sous Vilsbiburg. Alors, il dressa sur une carte les trajets qu’occupaient les courants d’eau. Il a vérifié par recoupement que les résidences des cinquante-quatre cas de cancer les plus récents étaient situées sur ces courants d’eau. Il a ensuite tiré une conclusion surprenante : « Les détails de ma carte me confirmaient que tous les lits appartenants aux cinquante-quatre morts du cancer étaient situés sur des courants d’eau ». Dans son traité classique, en 1932 s’intitulant :« Erdstrahlen als Krankheits-und Krebs erreger » (Les rayonnements de la terre en tant que facteur causal de cancer et autres maladies) Von Pohl relate ses observations.

Dix-huit mois plus tard, Von Pohl revenant à Vilsbiburg a découvert dix nouveaux cas de cancers. Les personnes atteintes sont décédées plus tard et toutes dormaient dans des lits situés sur un croisement de ruisseaux souterrains.

Les découvertes empiriques de Von Pohl à Vilsbiburg, d’un genre nouveau, ouvrent un champ d’investigation que nous avons appelé par la suite la « géopathologie ». Ce qui est intéressant c’est que l’on peut dans certains cas faire un lien entre certaines maladies et les facteurs géologiques, tels que les veines de l’eau, les failles et les rayonnements qu’ils dégagent. Dans les maisons de Vilsbiburg, les lits étaient situés sur des zones géopathiques repérées par des lignes représentant les radiations considérées comme dangereuses.

Le facteur géopathogène est encore pratiquement inconnu en Amérique, mais depuis Von Pohl, les investigations allemandes ont été considérables. Von Pohl était confiant au sujet de ses découvertes mais il a gardé une attitude conservatrice concernant ses hypothèses de travail :  » Mes observations relatées dans mon livre montrent l’action négative des courants d’eau. Ceci est nouveau et mal connu du monde médical traditionnel. Nous espérons ne pas rester seul et nous attendons que plus de docteurs réalisent des recherches de manière à faire avancer cette nouvelle connaissance pour préserver la santé humaine « .

Les grands espoirs de Von Pohl ont été comblés dans le futur. Le champ d’action de la géobiologie et de la géopathologie, a grandi depuis les simples spéculations de Von Phol pour devenir un sujet de préoccupation scientifique en pleine expansion dans les années 1980. Bien qu’à présent l’intérêt reste plus fort en Europe qu’en Amérique.

Les scientifiques Allemands ont développé une instrumentation scientifique précise qui permet de mesurer les plus faibles variations du champ magnétique terrestre dans les chambres.

Le nouveau travail en Amérique sur l’importance des rayonnements géopathogènes s’est progressivement accentué dans les diagnostiques médicaux conventionnels. Mais c’est ne pas la majorité du corps médical qui s’y intéresse. Cependant, demandez à un scientifique traditionnel ou à un hydrologue professionnel ce qu’il pense des influences géopathogènes des courants d’eau et vous vous rendez compte rapidement que c’est encore très controversé et vivement débattu. Ceci dit, une attitude prudente est indispensable si on soupçonne la présence de ces perturbations dans une chambre à coucher.

Dans les années soixante depuis von Pohl les recherches on continuées à Vilsbiburg. Ce sont surtout les sourciers, et rarement les médecins qui ont continué les recherches et proposés des explications. Von Pohl lui-même a présenté des douzaines de cas qui montrent sur base des nombreuses plaintes : des insomnies, des spasmes au coeur, des douleurs articulaires qui ont été supprimées pour la plupart en déplaçant simplement le lit du dormeur hors de la zone géopathogène.

Dans la ville de Stettin, le collègue de Von Pohl, le Dr. Hager, a répertorié plus de 5,348 morts du cancer sur une période de vingt et une années et a trouvé dans chaque cas une veine d’eau souterraine sous la maison.

« La science médicale a la possibilité d’avoir une attitude préventive qui n’était pas possible auparavant dit Von Pohl ». Si on installe pas son lit au-dessus d’un courant d’eau et qu’on évite de travailler au-dessus, on ne devrait pas obtenir de promotion du cancer dans ce cas ».

En Suisse en 1935-1936 des expériences ont été menées à Aarau par les Docteurs Jenny, H. Stauffer et l’ingénieur A. Oeler.

Douze à quinze souris de même sexe et de trois souches différentes vécurent depuis mai 1935 jusqu’en février 1936, dans des caisses de 2,50 m de longueur sur 35 cm de largeur et 30 cm de hauteur, placées moitié sur terrain neutre, moité sur zone d’influence tellurique.

Constatations : Les souris blanches s’établissaient dès le début du coté neutre. Lorsqu’on tournait les caisses de 180° après quelques semaines d’intervalle, de façon à ce que les parties habitées se trouvent sur le « zone », les souris, au bout de quelques jours se retiraient dans la partie non exposée.

Par des applications de goudron sur la nuque des souris, les auteurs ont produit de nombreux cas de cancer (initiation tumorale). Les observations montrèrent vite qu’il y avait un plus grand taux de mortalité au dessus de la zone perturbée. C’est donc un effet de promotion tumorale. Ces recherches ont été reprises par les Docteurs Jenny et Hartmann durant 12 années et réalisées sur plus de 14.000 souris.

En 1950, le docteur Hartmann afin de mettre en évidence le facteur de stress qu’un individu pouvait ressentir au dessus d’un point géopathogène a mis au point la technique du Georythmogramme. Elle consiste à asseoir une personne sur un point géopathogène et à mesurer toutes les 30 secondes la résistivité en kilo-ohms qu’elle a entre les mains par l’intermédiare de deux électrodes en cuivre reliées à un multimètre d’électricien. La résistivité mesurée n’a aucune signification pariculière. C’est la variation de celle-ci au cours du temps qui importe. Les facteurs météorologiques sont à prendre aussi en compte et à préciser sur le graphique.

Dans les années 1940, deux médecins allemands ont repris les données de Von Pohl de façon à aller de l’avant dans les connaissances et donner des explications sur ces mystérieuses radiations nocives. Le docteur en médecine Manfred Curry, directeur de la clinique d’Ammersee, a proposé le réseau Curry s’étendant comme un réseau quadrillé, s’étendant autour de la planète, dans la direction sud-ouest et nord-est. Ce réseau est donc diagonal et chaque réseau est espacé d’approximativement de 3m50. Le docteur en médecine Ernst Hartmann (Université de Heidelberg), directeur du Cercle de Recherche en Géobiologie de Waldkatzenback, a proposé un réseau qui porte aujourd’hui son nom. Il est plus court que le réseau Curry diagonal. La maladie est un problème d’emplacement, disait Hartmann, et les zones géopathogènes existent à l’intersection des croisements du réseau si la charge électrique est semblable.

Dans les années 1972 en Autriche, Kathe Bachler, un professeur en mathématiques et sourcier, a été commissionné par l’Institut Pédagogique de Salzbourg pour enquêter sur les rapports possibles entre le stress geopathique chez ses étudiants et leur performance à l’école.

Bachler a testé 3.000 maisons, et a interviewé 12.000 personnes dans quinze pays. Elle a présenté ses conclusions en 1976 dans un livre distribué largement en Europe, s’intitulant : « Expériences of a Dowser » (les expériences d’un sourcier). Elle a trouvé que 95 pour cent des apprentis qui étaient plus lents dans le travail que les autres étaient situés sur des veines d’eau ou traversés par des croisement du réseau Curry. Les bureaux de quelques enfants à l’école étaient sur « des zones de haute activité biologique ». Bachler a identifié dix indicateurs physiques visibles correspondant au stress géopathique et souligné que « nous devons faire beaucoup plus attention à la sensibilité de notre corps et nous laisser guider par lui « .

Aux emplacements des sites sacrés Européens, les sourciers trouvaient aussi une prolifération de veines d’eau sous les colonnes de pierre et les autels dans certaines cathédrales. Ceci a jeté temporairement le doute sur l’impact géopathogène des veines d’eau.

Comment pourrait-on dire que les veines d’eau sont salutaires et nuisibles en même temps ? Le sourcier Britannique expérimenté Tom Graves, l’auteur de « Needles of Stones Revisited » (Ed. Gothic Image, 1986) a classé par catégories les types de veines d’eau et distingué les ruisseaux noir qui transportent le « sha », ou « eau maléfique » dans lequel le ch’i, ou énergie vitale naturelle, est convertie en « sha », ou « souffle toxique ».

Les lignes de force à Stonehenge sont bonnes pour recharger votre corps ou pour méditer, dit Sarah Wooster, sourcier, « mais vous ne voudriez pas construire votre maison là. C’est une question d’exposition à long terme. Si vous passez quinze minutes là-bas, l’effet est très différent que si vous y viviez chaque jour ».

Herbert Douglas, 80 ans, un avocat retiré et ancien administrateur de la Société Américaine des Sourciers, a enquêté en vingt-cinq années sur les effets des veines d’eau au niveau du sommeil. Il a repéré dans des chambres de plus de 250 personnes, principalement dans le Comté de Bennington, dans le Vermont, et a trouvé cinquante traversées d’eau souterraines.

Sur base de son enquête il a relevé plus de soixante cas d’arthrite, vingt de cancers, et neuf de cataractes, Douglas conclut,  » Dans chaque cas où j’ai détecté ces perturbations, mes baguettes se croisaient au niveau de la partie affectée du corps au dessus du lit « .

Depuis que Von Pohl a vu le jour, les scientifiques cherchent pour trouver des techniques qui permettraient de mesurer objectivement les énergies géopathogènes suspectes. En 1930, dans le Havre en France, des lectures avec un électromètre ont été réalisées dans les caves de plus de 7.000 personnes atteintes de cancer et montrent que ces personnes dormaient au dessus des veines d’eau issues du sous-sol. Une augmentation dix fois plus importante d’ions dans l’air au dessus de ses zones a été observée.

Dans les 1970, le scientifique Allemand Jacob Stangle, muni de son scintillomètre gamma a enregistré une augmentation importante des rayonnements gamma au dessus des veines d’eau. Stangle a compris que Von Pohl dans ses conclusions de l’étude menée à Vilsbiburg souffrait d’un manque d’objectivité pour démontrer l’existence des zones géopathogènes, Cette incapacité le rendait vulnérable.

Un développement plus récent qui pourrait servir le scientifique dans la recherche du facteur géopathogène vient d’une entreprise Allemande appelé « Biophysique Mersmann », dont les bureaux Américains se trouvent à Belmont dans le Mass. Son fondateur, est Monsieur Ludger Mersmann, il est persuadé que la cause principale du stress géopathique trouve ses réponses dans les anomalies géomagnétiques terrestres. Pour prouver ceci, Mersmann a inventé un geo-magnétomètre qui permet des lectures précises des zones géopathogènes considérées comme suspectes. Le tout pouvant être géré par un PC et imprimé en trois dimensions. « Le geomagnétomètre » offre une analyse objective et reproductible des zones perturbées, avec l’avantage des mesures physiques. Les lectures du champ magnétique terrestre de Mersmann rendent plus crédible une théorie sur l’impact du facteur geopathogène.

Aujourd’hui la nouvelle sonde géomagnétique en option de l’appareil Magelan Plus + permet de mesurer un gradient de champ avec une extrême précision. Le point de départ pour le stress géopathique est un facteur géologique, quelques fissures ou anfractuosités dans le sol et la présence de veines d’eau.

La recherche biomédicale continue à approfondir le sujet des effets possibles de ces champs invisibles. Helmut Ziehe, président de l’Institut International de biologie de l’habitat et d’écologie à Clearwater, possède des données scientifiques sur une douzaine de perturbations physiologiques qui ont été observées chez des personnes qui vivent au dessus des zones géopatogènes. Des perturbations de l’électrocardiogramme, des variations du pouls cardiaque, des changements dans la sédimentation du sang, du pH, des variations des potentiels électriques cellulaires et des perturbations immunitaires ont été objectivées. De plus, des variations de l’ionisation de l’air, une augmentation de la conductivité électrique du sol, des effets microsismiques, une augmentation de la radioactivité, du rayonnement de neutrons, des anomalies dans la réception de la télévision constituent également des indicateurs fiables de point géopathogénes, dit Helmut Ziehe. Les données qu’il a accumulées maintenant font l’objet des conclusions d’un cancérologue allemand et chercheur en facteur géopathique, le Dr. Hans Nieper. Nieper opère dans une clinique à l’hôpital Silbersee dans le Hanovre, en Allemagne de l’ouest, et souvent les malades demandent le contrôle d’un sourcier dans leurs dortoirs pour détecter les zones géopathogènes.

Hans Nieper maintient que 75 pour cent de ses malades atteints de la sclérose en plaques passent trop de temps sur une zone géopathogène. Le patient malade devrait éviter des séjours prolongés dans ces zones par tous les moyens. J’ai observé dans mes études qu’au moins 92 pour cent des patients atteints de cancer passaient de longues périodes et dormaient sur une zone géopathogène.

En 1985, lors d’une conférence aux Etats-Unis, Nieper disait :  » Une zone géopathogène et la perturbation magnétique qu’elle induit n’est pas nécessairement la cause principale du cancer mais elle le pousse à se développer. C’est donc un effet promoteur.

Les géobiologues suggèrent que c’est un « syndrome du bâtiment malsain » et dès lors d’une combinaison peu appropriée de rayonnements naturels et artificiels ainsi que les papier peints, le contre-plaqué, les moquettes artificielles qui ont un effet néfaste. C’est le cumul de plusieurs facteurs qui abîme la santé.

L’usage de systèmes de diagnostic tel que tension permet également de déterminer l’importance d’un facteur géopathogène.

D’autres recherches Allemandes ont été menées par Robert Endrös et le professeur Karl-Ernest Lotz. Ce dernier a étudié le haut nombre d’accidents et collisions frontales sur certains tronçons de route qui se produisent sans aucunes raisons apparentes. Chez tous les conducteurs qui ont survécu, ils rapportent avoir eu « un trou noir » complet juste avant l’accident. Dans beaucoup d’exemples, Lotz a trouvé des eaux souterraines qui traversaient la trajectoire de la route avant le « trou noir » en question. Il propose l’hypothèse d’une forme de radiation provoquant une montée brutale d’un stress géopathique aboutissant à une forme de perte de conscience soudaine et foudroyante.

En Pologne, aussi, le gouvernement pousse les recherches sur le stress géopathique et le cancer. Ces résultats seront probablement bientôt disponibles. Le professeur Jerzy Mazurczak, de l’Académie d’Agriculture de Varsovie, a développé un appareil qui mesure les émissions de photons provenant des minéraux d’organismes biologiques quand on les expose à un tel stress. Il compare les émissions entre les patients en bonne santé et ceux malades (étude cas-témoins). Des symptômes tels que : épuisement, dépression, tension nerveuse, mauvaise humeur inexplicable, manque d’appétit, pâleur et une résistance aux traitements médicaux traditionnels ont souvent un cause géopathogène.

Certains enfants se plaignent également de pipi au lit, d’insomnie, de cauchemars, de marcher en dormant, de hurler la nuit, de crampes, de pieds froids, de grincer avec les dents, une transpiration excessive, de frissonner, de la fatigue, une sensation de léthargie et surtout une sensation de pas avoir eu assez de sommeil le matin.

Bien sûr, beaucoup de ces symptômes peuvent être dû à d’autres désordres physiques ou psychologiques. Mais plusieurs assainissements bien faits donnent d’excellents résultats.

L’acupuncteur Anthony Scott-Morley qui est installé à Poole, dans le Dorset au pays de Galle a fait des recherches sur le facteur géopathogène. Les patients de Scott-Morley étaient parfois dérangés par des perturbations géopathogènes. Il a demandé à des physiciens et des ingénieurs de réaliser des mesures objectives. Il distingue les rayons néfastes qui déchargent : « les champs yin » de ceux qui « chargent » les yang. De plus, les réseaux Hartmann de 2 m sur 2,5 m et le réseau curry renforcent encore l’action des zones géopathogènes.

Scott-Morley utilise un géomagnétomètre fabriqué en Allemagne pour détecter des variations géomagnétiques de l’ordre de 10.000 nanotesla au dessus de ces zones. Il pense que la variation magnétique brutale sur une petite distance est une manière de détecter les zones géopathogènes.

Un autre chercheur britannique d’une réputation internationale dans les champs électromagnétiques, le Docteur Cyril Smith de l’Université de Salford, a le même point de vue. Il donne plusieurs explications pour tenter d’expliquer les phénomènes géopathogènes :

  • De puissants champs magnétiques
  • Un gradient de champ magnétique
  • Les neutrons lents qui émanent des fissures géologiques charriées par de l’eau
  • Des micro-ondes
  • Des rayonnements ionisants gamma et alpha comme le radon,
  • Une forte ionisation de l’air
  • Des émanations provenant de l’eau souterraine.

Tous les phénomènes précités, pense-t-il, pourraient interrompre le mécanisme d’homéostasie d’un individu et diminuer fâcheusement son état de santé.

La végétation située à proximité d’une veine d’eau peut avoir des troubles de la croissance. Une haie peut ne pas pousser là ou de l’eau passe. Un arbre fruitier sera penché ou grandira en tournant sur lui-même (vrille). L’arbre subit durant toute sa vie, l’influence tellurique du lieu où il a été planté. Selon le type de point géopathogène, différentes manifestations sont possibles : vrille, tumeur, mort, brûlé par la foudre (souvent croisement de deux courants d’eau), étêté. . .

De telles observations ont été faites à la fois par des géobiologues mais également par Monsieur Bernard Guay, Directeur du Centre de la Propriété Forestière des Pays de Loire.

Selon ses observations, il y a une corrélation entre les traces géopathogènes et les défauts de l’arbre (geliures, fourches, cancer…).

Les animaux de fermes ont des mammites chroniques, des troubles immunitaires, et de l’eczéma.

Les animaux domestiques ont des vieillissements prématurés et des décalcifications osseuses plus importantes. Le poil est souvent terne.

Les habitants d’une maison dont les zones de repos sont traversées par un courant d’eau se plaignent le plus souvent d’insomnie, d’irritabilité, de stress, de fatigue chronique, d’affaiblissement immunitaire, de décalcification osseuse, de perte de cheveux, de cauchemars, de dépression nerveuse et de tachycardie. Les travaux du Docteur Beck, médecin allemand, Chef d’une clinique infantile à Bayreuth, publiée en 1957 montrent une augmentation des contractions cardiaques jusqu’à 50 % visibles par électrocardiogrammes, d’enfants souffrants de cardiopathie en les plaçant sur une zone géopathogène (comparée à une zone neutre).
Cependant il est important de bien comprendre la notion de synergie. C’est le plus souvent la conjonction de plusieurs facteurs terrestres (croisement tellurique, veine d’eau, faille…) qui déterminera le degré de nocivité possible engendré dans le corps d’un habitant.

Références bibliographiques

(1) Gustav Freiherr von Pohl. « Erdstrahlen als Krankheits-und Krebs erreger ». Ed. C. Hubers Verlag, Diessen vor München 1929. Réédité chez Fortschritt für alle-Verlag, gemeinnütziger e.V. 8501 Feucht en 1978 (Allemagne). 203 pp.

(2) Gordon R. « Are you in a Safe Place ». Dukvich Health Society, 3rd ed. 1988, lb 4.95 (Available finm 130 Gipsy Hill, London SE 19 1 PL).

(3) Dr. Ernst Hartmann. „Krankeit als Standortproblem“. Ed. Karl Haug Verlag GmbH – Heildelberg (Allemagne) 1964. 500 pp.

(4) Käthe Bachler. „Erfahrungen einer Rutengängerin – Geobiologische Einflüsse auf den Menschen“. Ed Veritas Verlag, Wien 1982. 236pp. (Allemagne).

(5) Version américaine : Käthe Bachler. « Earth Radiation – The Starling Discoveries of a dowser – New advances in the causation of cancer, allergies, arthritis, learning difficulties and many other diseases”. Ed. Wordmasters Ltd. Manchester (USA) 1989.209 pp.

(6) Mayer/Winklbaur.“Biostrahlen-Whoher Kommen Wie Sie Wirken, was sie tun – Der Mensh im Strahlungsfeld von Kosmos“, Erde und Umwelt. Ed ORAC, Vienne – Allemagne. 1983. 200 pp.

(7) Robert Endrös. « Le rayonnement de la terre et son influence sur la vie ». Ed Signal Lausanne

(8) Karl Emst Lotz. « Veux-tu habiter sainement ? Récentes constatations en biologie de l’habitat »- Ed Pafrath-Druck, D-5630 Remscheid 1984.

(9) Benoît Louppe, notes personnelles sur le facteur géopathogène.

(10) Cyril C-W- Smith et S. Best. “L’homme électromagnétique“. Ed. Arys, 1995-Nouvelle Ed. Marco-Pietteur 2002.

(11) Bernard Guay. Forêts de France. 1988-1989, N°317, 320 et 323.

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