Par J.-M. DANZE (Licencié es Sciences Chimiques, ex-assistant à l’Institut de Pharmacie (Liège), Consultant en Biophysique).
L’interaction des systèmes vivants avec les champs électromagnétiques.
Je me souviens de mes premiers contacts avec l’acupuncture chinoise, il y a 20 ans, lorsque j’écoutais certains professeurs parler d’énergie perverse. Je me disais que ces Chinois avaient vraiment l’esprit embrumé lorsqu’ils considéraient qu’une énergie pouvait être bénéfique ou perverse. Mes cours de physique m’avaient appris qu’une énergie ne pouvait pas se distinguer par un qualificatif de cette sorte et qu’une énergie était tout simplement une grandeur mesurable ou calculable. Depuis lors, en ne me limitant plus à la physique pure, mais en y intégrant certaines notions de biophysique, j’ai pu comprendre que la forme sous laquelle l’énergie était transmise vers des systèmes vivants pouvait avoir un effet particulier sur certains mécanismes biologiques. Entre-temps j’ai pu me rendre compte de ce que certains chimistes, certains biophysiciens et certains biologistes en pointe dans la recherche avaient commencé à démontrer [1].
W.Ross Adey, Président du Conseil National Américain de Protection contre les Radiations (N.C.R.P.) énonçait en 1988 la phrase suivante dans une de ses nombreuses publications : « Lorsque nous saurons comment les champs électromagnétiques peuvent nuire à la santé, nous comprendrons mieux comment fonctionnent les médecines dites énergétiques ». Cette phrase a d’autant plus de valeur à nos yeux, qu’elle est formulée par un neurologue classique qui est en même temps professeur de biologie dans une université californienne. Ses recherches dans l’exploration des effets des champs électromagnétiques sur les êtres vivants l’ont amené à cette conclusion.
Un exposé qu’il faisait devant les corps constitués de la Communauté Européenne, à Londres en 1994, était intitulé : « Un consensus scientifique croissant entre biologie cellulaire et moléculaire et les champs électromagnétiques de l’environnement »[2]. On trouve dans l’introduction de ce texte la phrase suivante : « Depuis le début, il apparaît clairement que les composantes en termes d’énergie de ces champs en relation avec les tissus sont extrêmement faibles, tellement faibles, en fait, que la crédibilité à accorder aux études épidémiologiques, eu égard à de telles sensibilités, requiert des concepts fondamentalement nouveaux en matière des processus énergétiques de la matière vivante».
En réalité, W.R. Adey ne fait qu’apporter l’appui de sa haute autorité à des concepts qui sont depuis bien des années acceptés et mis en pratique par des thérapeutes allemands. Depuis G. Lakhovsky en France [3] dès 1929 et depuis H.S. Burr [4] aux U.S.A. en 1972, un nouveau paradigme fait lentement (décidément trop lentement) son chemin en biologie de pointe et en médecine. E. Schrödinger, Prix Nobel de chimie, dans son ouvrage « What is life ? » (Qu’est ce que la vie ?) publié en 1967 [5] explique que la vie ne se limite pas à des réactions moléculaires, mais qu’elle implique des mécanismes plus subtils relevant de la physique quantique. Ce paradigme consiste à admettre qu’au delà de la chimie des molécules qui réalise la construction spécifique des tissus vivants, il faut tenir compte d’un nouveau schéma, peut-être plus difficile à comprendre, de l’organisation biologique. Ce schéma implique que tous les mécanismes moléculaires et organiques sont sous-tendus par des
champs électromagnétiques de très faible intensité, soit générés à l’intérieur même des organes vivants (endogènes), soit captés à l’extérieur du corps (exogènes). En somme les organes fonctionneraient comme des émetteurs récepteurs radio et utiliseraient comme langage des ondes (champs d’ondes) électromagnétiques de fréquences particulières et modulées par des signaux spécifiques. C’est le regretté Herbert Fröhlich, professeur à l’Université de Liverpool (père de la théorie des supra-conducteurs) qui a clairement mentionné dans ses écrits les termes « langage cellulaire »[6]. Il faut pour comprendre de façon un peu simpliste, cette argumentation, réfléchir au fait que nous pouvons avoir une idée assez claire du fonctionnement du cœur par l’électrocardiogramme, des systêmes neuro-musculaires par un électromyogramme, des fonctions cérébrales par un électroencéphalogramme, des fonctions digestives par un électrodigestogramme. Ceci nous indique que notre corps fonctionne à un certain niveau électrique. Les nerfs ne transmettent ils pas des impulsions de nature électromagnétiques (même si les synapses sont le siège d’échanges biochimiques) ? Si ces impulsions sont électromagnétiques, il faut bien admettre que le corps recèle des récepteurs adaptés à ce type d’informations. Nous aboutissons là à une conclusion incontournable : pour que de tels systèmes d’échanges puissent exister, il faut qu’entrent en jeu des circuits capables d’assumer des résonances électromagnétiques !
En abrégeant le raisonnement, nous pouvons à partir de là concevoir que des interférences puissent exister entre des champs extérieurs au corps et des champs endogènes. Le corps est loin d’être un système « blindé » électromagnétiquement parlant ; c’est au contraire un système « ouvert », c’est à dire capable de puiser dans l’environnement des signaux assurant sa structuration. Sans doute n’est-ce pas un hasard si les champs Schumann (champs naturels de résonance entre terre et ionosphère) ont des fréquences et des profils identiques aux ondes cérébrales. On peut fort bien comprendre que le cerveau a utilisé pour son système propre de communications les champs d’ondes naturellement présents sur la planète Terre. Ceci s’explique par les « Structures Dissipatives » d’I. Prigogine [7]. Ainsi, les champs électromagnétiques terrestres naturels ont pu être un facteur important de structuration du cerveau. Ces champs sont à basses fréquences : entre 8 et 32 Hertz.
Pollutions électromagnétiques
Ces champs Schumann, pulsés, en extrêmement basses fréquences (E.L.F.), d’intensité très faible (10 millivolts / m et 0,01 à 0,1 milligauss) qui se superposent au champ continu de la Terre (500 à 700 milligauss) ont fait partie de l’environnement électromagnétique de l’homme, depuis la nuit des temps.
Or, aujourd’hui on sait que les intensités des champs artificiels en basses fréquences (16 Hz, 50 Hz, 60 Hz…) ont été multipliés par des milliards de fois au cours de ces 50 dernières années. Le corps humain est constamment exposé dans nos pays industrialisés à un véritable « smog » électrique en basses fréquences, auxquelles se superposent les fréquences radio et les micro-ondes (satellites, antennes radio, radar, téléphones G.S.M.). Il est inconcevable, en tenant compte de tout ce que nous savons aujourd’hui grâce aux recherches in vitro, que ces champs d’ondes n’aient pas d’effets sur la santé et sur le comportement humain et animal. Aucune barrière n’existe quant à la pénétration de ces champs dans le corps et dans le cerveau. Les champs magnétiques traversent tout ! Toujours selon W.R. Adey, on peut considérer que la réponse des cellules à ces champs électromagnétiques se fait selon des fréquences bien précises (effet fenêtre) et selon des intensités évoquant de l’énergie « au niveau zéro »[2]. En effet, les systèmes de résonateurs électromagnétiques n’ont pas besoin pour fonctionner de fortes intensités de champs. Seul le rythme appliqué (cohérence) avec régularité est important, et ne nécessite que des chiquenaudes d’impulsions. (A titre de comparaison en mécanique physique, la balançoire va atteindre des niveaux de plus en plus élevés d’amplitude par l’effet de toutes petites impulsions données au bon instant). Nous sommes ici dans le domaine de la physique quantique, mais l’analogie avec la balançoire peut être retenue. On peut dire, à la lumière de ce que nous connaissons aujourd’hui, que des facteurs électromagnétiques de très faible intensité peuvent avoir des conséquences importantes sur les mécanismes biologiques.
L’implication des extrêmement basses fréquences
On sait, d’après des recherches in vitro et in vivo réalisées aux U.S.A., que ce sont principalement les extrêmement basses fréquences (entre 1 et 2000 Hz) qui ont les effets biologiques les plus importants sur le vivant. On a pu montrer que les fréquences radio (de 300 Mégahertz à 30 Gigahertz) sont nettement plus nuisibles et plus insidieuses lorsqu’elles sont modulées par des fréquences basses. Les hautes fréquences (radio et micro-ondes) sont toxiques à de fortes intensités parce qu’elles exercent un effet d’échauffement sur certains organes. Elles dénaturent ainsi en exerçant un effet destructeur par cuisson. C’est uniquement sur base de cet effet de cuisson que les normes d’exposition proposées par l’O.M.S. sont établies [8]. Les effets de résonance sont totalement ignorés par les instances internationales et c’est une erreur grave, car ces effets destructeurs (par désorganisation progressive des systèmes organiques) ne seront perceptibles qu’à long terme sur l’homme exposé. Comme toujours, l’utilisateur (consommateur) servira de cobaye, alors que les effets néfastes sont décrits avec données statistiques sur des membres de corps d’armées (opérateurs radar et opérateurs radio ainsi que sur le personnel de l’ambassade U.S. à Moscou entre 1965 et 1982)[9].
Les cellules cancéreuses sont sensibles à des champs électromagnétiques spécifiques, couplés à des fréquences magnétiques pulsées. Des recherches menées en ce sens se révèlent très encourageantes. Le choix judicieux des fréquences et des signaux utilisés permet d’avoir une action destructrice sélective sur les cellules cancéreuses, tout en stimulant les cellules saines [10]. Attention, il s’agit ici de champs pulsés unipolaires à impulsions extrêmement rapides, dont l’activité physiologique est totalement différente de celle des champs alternatifs !
Des mécanismes connus
Malgré les discours lénifiants et rassurants des responsables des sociétés vendant de l’électricité, et des opérateurs de téléphonie mobile, ainsi que des politiques suspendus à leurs bénéfices (retournant en tout ou en partie à l’état), il existe un consensus scientifique mondial des spécialistes indépendants quant aux effets des champs électromagnétiques sur le vivant. La membrane cellulaire est un site d’action privilégiée. Des chaînons de protéines sont stratégiquement situés à la surface des cellules dans les tissus. Ils y agissent comme détecteurs de messages électriques et chimiques arrivant au niveau de cette surface. Ils les traduisent ensuite et les transmettent à l’intérieur des cellules. Il s’agit d’un couplage de transduction qui est bien connu. Les cellules accomplissent ainsi un triple rôle : la détection des signaux, l’amplification des signaux, la transmission des signaux à l’intérieur des cellules. Les ions calcium (Ca2+) jouent un rôle essentiel à chaque étape de cette signalisation transmembranaire et ont été utilisés comme marqueurs des interactions de champs électromagnétiques avec un grand nombre de tissus et de cultures cellulaires. La fuite de calcium des cellules concernées a révélé cette sensibilité aux champs électromagnétiques à extrêmement basses fréquences.
L’activité métabolique cellulaire est entretenue par l’ATP. La défaillance de l’ATP implique l’enzyme en relation avec la membrane cellulaire : l’adénylate-cyclase. Or, d’après de nombreuses recherches, il est évident que l’adénylate-cyclase est sensible aux champs électromagnétiques. Son rôle dans la consolidation de fractures rebelles (pseudarthroses) [11] par application de champs magnétiques(*) à la fréquence pulsée de 72,5 Hz confirme ce fait déjà acquis par d’autres voies d’exploration [12].
Les enzymes messagères protéines-kinases sont activées par ces signaux en relation avec la membrane cellulaire et peuvent ainsi se répandre à l’intérieur des cellules, diffusant des signaux vers beaucoup de structures et même vers le noyau cellulaire [14-15].
La multiplication cellulaire implique l’ornithine-décarboxylase, laquelle synthétise des polyamines (putrescine, spermine, spermidine). L’activité de l’ornithine-décarboxylase est modulée par les champs électromagnétiques à extrêmement basses fréquences et par les ondes radio modulées par des extrêmement basses fréquences [16].
De plus, il est scientifiquement admis que les signaux électromagnétiques externes traversant la membrane cellulaire sont des modulateurs de la communication de cellule à cellule dans la régulation de la multiplication cellulaire[17-18]. Les cellules communiquent avec leurs voisines via des champs électriques bien plus faibles que ceux dus au potentiel de la barrière électrique établie par la membrane. (Ceci montre bien comment un potentiel dentaire généré par un effet électrogalvanique buccal peut induire diverses perturbations douloureuses ou réactionnelles, telles les névralgies du trijumeau).
Les cabinets dentaires et la pollution électromagnétique
Les dentistes comptent parmi les personnes les plus exposées aux champs électromagnétiques à extrêmement basses fréquences (50 Hz). Les Scialytiques à forte intensité, les tubes néon situés à proximité de la tête, la présence proche de moteurs électriques et de transformateurs, de fours et de stérilisateurs (gourmands en courant) engendrent des champs magnétiques et électriques qui rayonnent sur l’opérateur pendant toute la journée de travail [19]. Une excellente mise à la terre des installations (moins de 7 ohms) permettra d’éliminer les champs électriques mais n’aura aucun effet sur les champs magnétiques. Laisser supposer que certains grigris ou gadgets « déviateurs d’ondes » sont susceptibles d’atténuer ces champs ou leurs effets biologiques néfastes relève de l’escroquerie. L’appareil de mesure (en volts / m pour les champs électriques et en milligauss ou en microteslas pour les champs magnétiques) étalonné pourra prouver l’existence ou l’absence de ces champs et donc de leurs effets. En dehors de ces mesures, tout n’est qu’élucubration ! Des dentistes ont suivi nos conseils et ont aménagé leur cabinet en conséquence, en utilisant les connaissances technologiques industrielles récentes. Tous déclarent : « c’est curieux, mais depuis ma nouvelle installation, je travaille plus et je suis nettement moins fatigué en fin de journée !»
Les champs vivants et les possibilités de traitements qui y sont liés
A partir du concept de champs d’ondes électromagnétiques émises par les êtres vivants, on peut arriver aisément à l’application de traitements « énergétiques ». En somme, les associations de cellules (tissus) et les organes d’un corps vivant émettent constamment des ondes électromagnétiques (signaux). Ces ondes sont perçues par des associations de cellules
équipées pour les capter et les interpréter (par exemple en y répondant par une sécrétion spécifique). Lorsqu’un tissu vivant est lésé ou intoxiqué, il n’émet plus le même spectre d’ondes que lorsqu’il était sain. Les cellules auxquelles les signaux sont destinés sont incapables de capter les signaux « anormaux » puisqu’elles ont des systèmes de résonateurs spécifiques. Cette impossibilité de « dialogue » des cellules est le début d’une incoordination au sein de l’organisme et annonce la maladie parfois bien avant qu’elle se déclare (une armée ne peut combattre de façon efficace que lorsque ses différents corps sont coordonnés).
Le système MORA, grâce à son filtre électromagnétique à résonance moléculaire, va permettre de sélectionner les fréquences anormales (pathologiques) parmi les fréquences normales de dialogue (physiologiques). Le but à atteindre étant de « faire taire » les cellules au langage dissonant. Pour cela, dans la foulée de cette sélection, on va enclencher un système de mise en opposition de phase des ondes pathologiques (inversion d’ondes) . Ceci aura pour effet de supprimer pendant quelques minutes le langage incohérent des cellules malades. Pendant le même laps de temps, l’appareil MORA va amplifier les signaux physiologiques afin que les cellules saines restantes puissent « couvrir » le langage confus des cellules malades. Ce court espace de temps va donc contribuer à corriger des anomalies de transmission et à « relancer » le système cohérent [20].
Ces actions vont être menées successivement sur diverses plages de fréquences afin de couvrir dans sa totalité la bande de 1 à 150 kHz. (et même au delà).
Les effets de ces corrections sont suivis grâce à des mesures d’électro-acupuncture. Au besoin, on pourra compléter ces corrections du système de transmissions cellulaires par des fréquences de lumières colorées (MORA-Color) ou par la détection précise de médicaments homéopathiques adéquats.
Le système d’opposition de phase permet également de dépister sur le patient l’effet pervers d’un médicament allopathique, d’un additif alimentaire, d’un pesticide, d’un herbicide, d’un matériau dentaire, d’un anesthésique, auquel ce patient a pu être soumis (ou est toujours soumis au moment du diagnostic). On comprend aisément la portée que cette détection en opposition de phase peut avoir sur le dépistage d’une allergie spécifique. En somme la méthode de l’opposition de phase permet de détecter l’allergène ou la substance ayant entraîné des conséquences néfastes sans passer par un test de provocation (habituel en acupuncture) et sans utiliser la dynamisation homéopathique de la substance suspecte (isothérapie). Aucun effet aggravant n’est à redouter, comme c’est le cas pour le test de provocation. Il se manifestera une amélioration (objectivable par la mesure des points d’acupuncture) lorsque le signal du produit adéquat sera mis en opposition de phase. Le détecteur TSE mis en œuvre pour réaliser ce type de détection « à l’aveugle » permet de tester 8 ampoules simultanément puis d’isoler par groupage les ampoules suspectes. Cette méthode accélère considérablement la rapidité de détection, sans sortir inutilement les ampoules des collections.
Très prochainement, le système électronique de détection permettra de piloter cette recherche, ainsi que celle des médicaments homéopathiques adéquats, par ordinateur PC, sans avoir recours à des ampoules témoins. Un interface à mémoire intégrée constituera l’élément clé de cette détection. Ce procédé partiellement automatisé sera applicable au MORA-Combi et au MORA-Super. La mise en mémoire du dossier du patient constituera également un grand pas.
La tradition chinoise avait raison !
Il existe bien dans l’environnement et au plus profond de nos cellules des formes d’énergies qui agissent de façon bénéfique et des formes d’énergie qui influencent de façon perverse nos mécanismes biologiques.
Non seulement le système MORA permet de mettre cet antagonisme en évidence, grâce à des mesures objectives, mais il permet également d’en déterminer les causes puis de juguler les mécanismes de désorganisation. Mais ce qui est encore plus émouvant c’est de constater accessoirement, toujours grâce à des mesures électriques, que la règle des Cinq Eléments en acupuncture, remontant à plusieurs millénaires, a une assise réelle et objectivable.
Les recherches de biocompatibilité individuelle des matériaux dentaires.
Nous avions publié dans la revue « AUTREDENT » n°8 de septembre 1993, un article intitulé « Foyers perturbateurs dentaires, biocompatibilité des matériaux et appareil MORA ». Nous avons montré dans cet article comment le système MORA est un atout capital dans un cabinet dentaire. Il permet non seulement de déterminer un métal ou un matériau responsable d’un état allergique ou d’une intolérance, mais aussi de choisir de façon prédictive les matériaux les plus indiqués en fonction des sensibilités individuelles de chaque patient.
L’application de l’excitation d’une dent présumée suspecte montrera de façon indiscutable et sans technique invasive l’éventuelle présence d’un dépassement de racine, d’un granulome, d’un abcès en formation, d’une ostéite, d’une nécrose…
La reproductibilité et la fiabilité de la méthode sont stupéfiantes. Nous renvoyons le lecteur à cet article pour de plus amples informations.
(*)La stimulation de la cicatrisation par fréquences pulsées peut être une application précieuse de ces champs pulsés, maintenant à la portée des patients eux-mêmes grâce au TINY-SCAN®, un appareil de la taille d’un paquet de cigarettes émettant des champs pulsés entre 1 et 1350 Hertz (avec sélection par dixièmes d’unité). Cet appareil offre bien d’autres possibilités [13].
Quelques références bibliographiques
[1] Smith,C.W. et Best S. « L’homme électromagnétique », Ed.Encre, Paris, 1995.(*)
[2] Adey, W.R. « Un consensus scientifique croissant concernant les interactions entre biologie cellulaire et moléculaire et les champs électromagnétiques de l’environnement .» Symposium de la Communauté Européenne, Londres 27 oct.1994 (traduction J.M.Danze).
[3] Lakhovsky, G. « Le Secret de la Vie », Ed.Gauthier-Villars, 1929
[4] Burr H.S. « Blue Print for Immortality, The electric patterns of life », Ed.C.W.Daniel Cy. Ltd., 1972.
[5] Schrödinger, E. « What is life ? »Ed. Cambridge University Press, 1967. Traduction française : « Qu’est ce que la vie ? », Ed. Christian Bourgeois, 1986.
[6] Fröhlich H. « Biological coherence and response to external stimuli » Springer Verlag, Heidelberg, 1988.
[7] Prigogine, I. et Stengers I., «La Nouvelle Alliance», Ed. Gallimard, Paris, 1979.
[8] Health Physics, I.R.P.A., 1988.
[9] Cherry N., « Effets nocifs potentiels et réels des rayonnements de radio-fréquences,micro-ondes des stations de téléphones cellulaires » Traduction française, 1996. (*)
[10] Mainguy, J.C., Crochet, S., Danze, J.M. « Entwicklung neoplastischer Zellkulturen unter dem Einfluss elektromagnetischer Felder » Erfahrungs Heilkunde, 7, July 1997, pp.398- 404. et Zeitschrift für Onkologie / Journal of Oncology, 29, 4, 1997, pp. 107-112.(*)
[11] Basett, C.A.L. «Beneficial effects of electromagnetic fields»,J. of Cellul. Biochemistry, 51 ,pp.387-393, (1993).
[12] Luben, R.A. et al. « Effects of electromagnetic stimuli on bone and bone cells, in vitro : inhibition of response to parathyroid hormone by low-frequency energy fields » Proc. Natl. Acad. Sc., USA, n°79, pp. 4180-4183 (1982).
[13] TINY-SCAN® créé par J.M. Danze, renseignements SPRL Francine Delvaux, 22 rue du Chalet, B-4920 Aywaille, Belgique.
[14] Byus, C.V., Lundak, R.L., Fletcher R.M., Adey, W.R. « Alterations in protein-kinase activity following exposure of cultured lymphocytes to modulated microwave fields », Bioelectromagnetics, n°5, pp.34-51 (1984)
[15] Luben, R.A., Morgan, A.P., Carlson A., Duong, M. « One gauss 60Hz magnetic fields modulate protein-kinase activity by a mechanism similar to that of tumor promoting phorbol esters » Bioelectromagnetic Society, 16th. Annual Meeting, Copenhagen, proceedings, p.74 (1994)
[16] Byus, C.V., Kartun, K., Pieper, S., Adey, W.R. « Increased ornithine decarboxylase activity in cultured cells exposed to low energy modulated microwave fields and phorbol ester tumor promoters », Cancer Res., n°48, pp. 4222-4226 (1988).
[17] Löwenstein, W.R. « Junctional intercellular communication : the cell-to-cell communication channel », Physiol. Rev., n°6, pp.829-913 (1981).
[18] Adey, W.R. « Extremely low frequency magnetic fields and promotion of cancer », in : Interaction mechanisms of low level electromagnetic fields in living systems, Oxford University Press, pp.23-46,(1992).
[19] Danze, J.M., Le Ruz, P., Santini, R., Bousquet, M., Mercier J.L. « Pourquoi et comment mesurer les champs électriques et magnétiques 50/60 Hertz », Ed.Encre, Paris, 1994.(*)
[20] Danze, J.M. « Le système MORA ou le rationnel en médecine énergétique », Ed. Encre, Paris(1992)