Bureau etudes et vie

Qu’est-ce qui différencie les ondes naturelles de la Terre de celles d’un routeur wi-fi ? Par le Prof. Dr. med. Karl Hecht

Prof. em. Prof. Dr. med. habil. Karl Hecht (Allemagne) (*)

Dans une interview réalisée par Lothar Moll dans le documentaire de Klaus Scheidsteger(1), le Prof. Dr. med. Karl Hecht nous explique la différence fondamentale qui existe entre les fréquences de résonance de Schumann (champ pulsé naturel de la Terre) de 7,83 Hz et celles du wifi (pulsée à 10 Hz) (2).

L’onde de Schumann s’est développée dans notre organisme au cours de l’évolution.
Elle contrôle toute notre horloge biologique interne pour parler simplement.
Les ondes de 10 Hz comme les ondes produites par le wi-fi sont en impulsions d’extrêmement basses fréquences (hyperfréquences pulsées en extrêmement basses fréquences). Cela signifie que se sont de fortes impulsions qui ne sont pas ondulatoires.
Les ondes wi-fi sont de puissant déstabilisateurs de l’organisme. Nous devons faire très attention parce que ces ondes, ont aussi la capacité de nous perturber. De nombreuses preuves existent !

Les humains possèdent une mémoire de la douleur et de la même manière, ils ont une mémoire vis à vis des ondes radios (ou aux modulations des hyperfréquences).
Même après la disparition des effets d’un rayonnement, les symptômes peuvent toujours réapparaître.

Il existe des études qui prouvent qu’une fois que le wi-fi s’est établi d’une manière négative dans les mécanismes myoélectriques de l’organisme, l’être humain souffre mais il ne sait pas pourquoi.

Nous, ainsi que tous les médecins, devons empêcher aussi vite que possible, le développement de cette mémoire de la douleur. C’est-à-dire, le développement d’une mémoire aux ondes radios.

Cela peut conduire à la catastrophe. Comme la mémoire de la douleur qui peut persister plusieurs années dans l’organisme, notamment quand elle est générée par des ondes aussi intenses que celles provenant du wi-fi. Par la suite, cela peut avoir de lourdes conséquences car il s’agit de mécanismes de stress qui fonctionnent en permanence. Il n’est pas étonnant que des burn-out et des dysfonctionnements puissent se développer de cette façon-là.

Une mesure électromyographique a montré en particulier chez les sujets préalablement exposés aux effets prolongés du wi-fi que même sans exposition aux ondes électromagnétiques, la composante de 10 Hz reste présente.

Vous pouvez voir ci-dessous l’électromyogramme (courbe du bas en rouge) qui montre l’activité électrique des muscles et l’électrocardiogramme (courbe du haut en jaune) qui montre l’activité électrique du cœur. Une fois que vous commencez à générer des ondes radios, vous pouvez voir ici le cycle de 10 Hz du wi-fi qui apparaît.

Électromyogramme (EMG) enregistré lors d’une exposition à une fréquence d’impulsion de 10 Hz- avec le routeur WLAN (Wi-fi) en fonctionnement.

Figure 1 : EMG (Électromyogramme ) après une longue exposition aux ondes WLAN (wi-fi) 36 heures avant.
-à gauche : une série d’EMG au cours du temps (courbe du haut : comparaison avec l’ECG (électrocardiogramme) au cours du temps)

-à droite : EMG, domaine de fréquence par transformation en série de Fourier (FFT)

 Figure2 : même procédure que la figure 1, après 3 minutes d’exposition WLAN (wi-fi)


Figure 3 : identique à la figure 2 mais 30 secondes plus tard.

 EMG témoin, 6 minutes après l’exposition.

Même après avoir coupé la source de wi-fi, l’oscillation demeure. Cela signifie que le cycle de pulsations du wi-fi est mémorisé dans le tissu musculaire. Comme dans le cas de la mémoire de la douleur, une mémoire d’ondes radios s’est développée, ce qui doit être pris en compte.

Selon l’auteur de l’étude, cela peut être terrible pour nos enfants et les jeunes, en particulier dans les écoles où le wi-fi serait introduit. Étant donné que les enfants sont beaucoup plus sensibles que les adultes, cela peut endommager gravement le système nerveux ainsi que l’organisme tout entier.

Cela signifie que les enfants pourraient bien être affaiblis toute leur vie !
En fait, nous sommes soumis au stress constant de cette pulsation wi-fi, et à cause de cela, le système immunitaire est affaibli. On devient plus sensible et selon son mode de vie, on peut partiellement compenser les effets ou devenir vraiment très malade voire même se suicider.

Autrement dit, même quand le wi-fi est désactivé, on conserve toujours la mémoire des fréquences du wi-fi dans nos cellules. Les études scientifiques l’ont prouvé. C’est incroyable et dangereux ! Il faut garder cela à l’esprit. En outre, d’autres études montrent depuis bien longtemps que si ces ondes frappent constamment l’être humain, elles ont tendances à s’accumuler. Ceci signifie qu’elles se renforcent constamment. C’est le deuxième facteur qu’il faut prendre en compte. Cela veut dire également que les personnes deviennent de plus en plus sensibles et plus malades. De nombreuses maladies peuvent survenir, surtout le burn-out, les maux de tête et les troubles du sommeil. Tout cela est lié !

Beaucoup de jeunes utilisent leur téléphone portable et ils deviennent suicidaires ou dépressifs. Lorsqu’ils sont dans un état fort dépressif et que le risque d’un suicide apparaît, ils doivent être aidé.

——————————————————————————————————————————————————————————————————————————-
(*) Prof. Karl Hecht, né en 1924.
– Dr med. habil.
Professeur de neurophysiologie et professeur émérite de physiologie pathologique expérimentale et clinique de l’Université Humboldt (Charité) à Berlin.

-Membre de l’Académie internationale d’astronautique.
-Membre de l’Académie des sciences de Russie.
-Président d’honneur de l’Académie européenne de prévention médicale.
Au cours des 20 dernières années, ses principales recherches furent orientées dans les domaines tels que : le stress, le sommeil, la chrono-médecine, la médecine environnementale, la médecine spatiale,ainsi que les sciences de la santé et la naturopathie holistique.£
Il est l’auteur de 48 ouvrages spécialisés et documentaires. Il a également publié plus de 800  articles scientifiques dans des revues nationales et internationales.

Rencontre de Benoît Louppe, directeur du bureau Etudes & Vie avec le Pro. Dr. Med. habil. Karl Hecht du 4 au 6 octobre 2019 à Mainz (Allemagne).
Symposium sur la 5 G et les conséquences des technologies sans fils sur la santé.


(*) Sources :
(1) Lothar Moll et Klaus Scheidsteger – Documentaire allemand traduit en français : « Les effets des ondes de la radiocommunication mobile sur la santé – Vérifier les faits ». 2019
(2) Prof. em. Prof. Dr. med. habil. Karl Hecht “Welche Unterschiede bestehen für die men-schliche Gesundheit bei Wirkungen des Schumann-10-Hz geomagnetischen Felds und bei Wirkung der 10-Hz-Pulsation der WLAN elektromagnetischen Strahlungen?”

(3) Prof. em. Prof. Dr. med. habil. Karl Hecht – Dr. rer. nat. Hans-Ulrich Balzer I.S.F. Institut für Stressforschung Forschung und Entwicklung – “Biologische Wirkungen Elektromagnetischer Felder im Frequenzbereich 0 – 3 GHz auf den Menschen Studie russischer Literatur von 1960 – 1996” – Berlin, 1997.

Copyright – Traduction et présentation – Benoît Louppe 08/2019

Chronique d’un EHS, la tente par Guy Lerat

Comme dans tout projet, l’obstination et la solidarité sont les ciments de la réussite. Ici, au départ, l’idée de mettre à disposition des personnes EHS (électrohypersensibles), un matériel de protection à l’essai avant de se lancer dans in investissement coûteux et peut-être inadapté à leur cas. Nous disposions pour ce faire d’une toile de protection de 10 m sur 3 qui ne nous servait plus depuis notre déménagement. Au départ, nous la mettions à disposition sur base d’une structure de tonnelle. Il fallait être 2 personnes pour la monter et cela prenait du temps et ne s’adaptait pas à toutes les configurations. Nous avons rencontré Francine, accessoirement couturière, qui s’est jointe à notre projet. Après étude, notre choix s’est tourné vers une structure de base de tente 2 places du commerce à 23€. L’idée était de remplacer la toile extérieure par le voile de protection. Il a fallu renforcer le voile de protection aux coutures et sur les bordures pour permettre un montage et démontage fréquent sans le déchirer. Le voile déborde de 30 cm sur tout le périmètre et est donc en contact permanent avec le tapis de sol de protection.

L’ensemble, une fois replié, prend peu de place, est léger et est facilement transportable.

Nous rappelons que cette tente doit permettre à un EHS de juger de l’opportunité d’un investissement coûteux (un baldaquin revient facilement à plus de 1000€) et n’est en rien une solution définitive.  Dimensions et détails techniques sont disponibles sur simple demande. Nous espérons pouvoir en réaliser une deuxième pour le mettre à la disposition du plus grand nombre. A vos aiguilles et encore merci à Francine qui a sué sang et eau pour faire aboutir ce projet.

Avec Francine, une dame qui a découvert son EHS il y a peu et qui est venue trouver refuge quelques nuits dans notre maison à l’abri des ondes, nous avons imaginé une tente de protection facilement transportable et démontable. Nous sommes partis d’une tente Queshua Arpenaz 2 à 23 € pour faire la structure.

Je disposais d’un voile de protection -40db Pro blanc écru de chez études et vie à 99€ le m.

Lien vers le voile écran pro

J’en avais acheté 10 m pour en faire une protection dans notre précédent logement.

Cette réalisation très efficace était encombrante et difficilement transportable. Elle nécessitait beaucoup de tissus mais également un renfort pour les pieds de la tonnelle qui lui servait de structure.  Le tissu était découpé en 2 bandes de 2m sur 3 et une bande de 6m sur 3.

Nous avons utilisé les 2 bandes de 2 m sur 3 pour réaliser la tente.

Cette tente de protection étant destinée à beaucoup voyager et à être souvent montée et puis démontée, Francine a préféré renforcer toutes les coutures et les ourlets. Des lichettes ont également été ajoutées pour la fixer à la structure tubulaire pour éviter les pinces à linge qui risquaient de perforer la toile.

Le voile de protection déborde de 30 cm sur tout le tour de la tente afin d’être parfaitement en contact avec le tapis de sol de protection.

Le montage est facile

  1. Dérouler le tapis de sol
  2. Dérouler la structure de la tente avec les 4 œillets aux 4 coins
  3. Emboiter les arceaux et les fixer aux goupilles
    accrocher la tente aux arceaux
  4. Placer votre matelas à l’intérieur de la tente
  5. Placer le voile de protection sur la structure en veillant à positionner la porte du bon côté. Vous pouvez alors en soulevant légèrement le voile fixer les lichettes noires aux arceaux.
  6. Raccorder le tapis de sol à la terre au moyen du câble fourni et du velcro de fixation
    Plaque de mise à la terre avec velcro conducteur pour tous les tapis écran contre les hautes fréquences   
  7. Il ne vous reste plus qu’à vérifier le niveau d’onde à l’intérieur de la tente grâce à votre appareil de mesure (ESi24, la gamme HF de Gigahertz-Solutions…) ou l’acoustimètre AM-10 mis à disposition sur demande.
  8. Bonne nuit

Pour nous contacter :
Guy Lerat
rue Frontière, 69
6464 Rièzes
060/344202
e-mail: guy.lerat@proximus.be

Commentaire de Benoît Louppe, directeur du bureau Etudes & Vie:
Monsieur Guy Lerat est une personne souffrant d’intolérance aux ondes électromagnétiques. Il s’est adressé à nous à plusieurs reprises pour obtenir des conseils et tissus protecteurs contre les hautes fréquences. Nous partageons ici son expérience très intéressante destinée à aider les personnes EHS.

Guy Lerat – 11-2019

 

La 5G et la santé – appels, rapports scientifiques, liens utiles et vidéos

Introduction

Mesdames et messieurs, ne soyez pas dupes ! Avec la 5G, le débat publique est confisqué. Certaines personnes peuvent y réfléchir, d’autres vont vous l’imposer pendant que d’autres encore vont la subir.
Quand l’industrie et les politiques décident qu’ils sont l’élite et qu’ils considèrent que vous n’avez plus le niveau pour pouvoir comprendre ce sujet ou accéder à cette connaissance, vous ne pouvez plus avoir un avis critique!

On constate depuis quelques années des campagnes de désinformation qui profite aux sociétés de téléphonie mobiles avec la complicité des médias de masse qui tente au travers de phraséologies destinées à noyer le poisson et à empêcher la compréhension du fond du problèmes lié des effets sanitaires des ondes électromagnétiques. Tout est fait et présenté à la population en expliquant que tout cela ne sort que de la bouche de quelques extrémistes illuminés ou conspirationnistes et que l’on exagère encore beaucoup sans la moindre preuve! Pendant ce temps, le déploiement de la 5G bat son plein! Selon certains politiques partisans de la cause des opérateurs retranchés fièrement derrière l’ICNIRP et l’OMS en précisant “qu’en ce qui concerne  les ondes et la 5G, il n’y a pas de preuve de nocivité significative sur la santé humaine ni animale”. C’est un discours typiquement pro-opérateurs et pro ICNIRP (International Commission on Non-Ionizing Radiation Protection)! Nous sommes dans une techno-dictature légalisée!

Les scientifiques, les médecins et les politiques qui répètent sans cessent ce discours bien huilé est déshonorant et ils en portent l’opprobre! Ils participent assez largement à la culture de l’ignorance ou agnotologie.

Comment peut-on avoir une telle outrecuidance face au nombre écrasant d’études qui démontrent non seulement les effets biologiques mais les risques sanitaires des hyperfréquences en général depuis plusieurs décennies. C’est le résultat d’une fraude scientifique orchestrée depuis longtemps au niveau international!

C’est une grave atteinte à la démocratie!

Carte de la couverture 5G dans le monde

www.nperf.com/fr/map/5g

Appels internationaux depuis 1998:

appels-medicaux-et-scientifiques

Pétitions, moratoires et appels contre la 5G

Pétitions Belgique

Pour un moratoire sur la 5G

https://www.change.org/p/aux-parlements-belges-pour-un-moratoire-sur-la-5g

Non à la 5G en Belgique

https://secure.avaaz.org/fr/community_petitions/_premiere_ministreministres_presidents_ministres_d_non_a_la_5g_en_belgique

Electrosmog Appeal Belgium (professionnels de la santé uniquement)

ww.hippocrates-electrosmog-appeal.be

Rapport alarmant de médecins belges au sujet de la nocivité des ondes électromagnétiques:

https://next.electrosmogappeal.be/index.php/s/EPNYxLMQjb5DnR2

Groupe de discussion Facebook – STOP 5G (Belgique) – différentes actions menées en Belgique.
https://www.facebook.com/groups/2511021288995689/

Carte de la couverture réseau 5 G en Belgique
https://www.proximus.be/

Initiative citoyenne Luxembourg

Stop 5G Luxembourg (Birgerninitiativ Stop5G Luxembourg a.s.b.l.)
https://stop5g.lu/

Pétition France

Grande pétition, non à la 5G en France

https://www.leslignesbougent.org/petitions/stop-5g-en-france/

Boycottons la 5G et son monde

https://www.unepetition.fr/boycott5g

Pétition Suisse

Pétition contre la 5G et ses dangers en Suisse

Appel International:

https://www.5gspaceappeal.org/

Lien vers le texte en français de l’appel international

Rapports, avis des scientifiques indépendants, articles divers sur la question de la 5G:

France

Coronavirus : en marge de la pandémie le Gouvernement, par l’ordonnance n° 2020-320 du 25 mars 2020, suscite de graves questions relatives à la santé publique.

https://www.phonegatealert.org/corona-virus-en-marge-de-la-pandemie-le-gouvernement-par-lordonnance

https://www.legifrance.gouv.fr

STOP 5G (Suisse)
https://www.stop5g.ch/

En Suisse, des personnes ne supportent pas la 5G et ne savent plus où aller!

https://www.illustre.ch/magazine/5g-sentons-cobayes

Cent septante scientifiques issus de 37 pays, dont deux Suisses, un médecin zurichois et 
le docteur en biologie vaudois Daniel Favre, ont signé un appel demandant à l’ONU d’agir 
pour stopper le déploiement de la 5G pour des raisons sanitaires. Le docteur Favre s’explique.

«Déployer la 5G revient 
à mener des expériences 
sur les humains et la nature».

Belgique

Déploiement de la 5G en Belgique – Pas du goût de certaines autorités communales et de la population. On profite de la pandémie ?

https://www.lalibre.be/economie/digital/proximus-lance-la-5g-dans-plus-de-30-communes-et-accelere-le-deploiement-de-la-fibre-5e82e8689978e22841423991

https://www.lalibre.be/regions/brabant/la-5g-annoncee-dans-une-trentaine-de-communes-ottignies-louvain-la-neuve-et-wavre-se-disent-scandalisees-5e8429ea7b50a6162bee3396

Cadastre des antennes émettrices stationnaires de Wallonie (Belgique):

http://geoapps.wallonie.be/

Atlas 3G/4G déjà existant en Belgique:
https://www.bipt-data.be/fr/projects/atlas/mobile

Articles de presse
Interview de Benoît Louppe, directeur du bureau Etudes & Vie. Source: Journal Vers l’Avenir – date : 30 octobre 2019

https://www.etudesetvie.be/…/5G-et-sante-article-de-presse-…

https://www.etudesetvie.be/…/5G-et-sante-article-de-presse-…

Non à la 5 G à Bruxelles (avril 2019):

https://www.brusselstimes.com/brussels/55052/radiation-concerns-halt-brussels-5g-for-now/

https://exoportail.com/bruxelles-devient-la-premiere-grande-ville-a-interrompre-la-5g-en-raison-de-ses-effets-sur-la-sante/

ONDES – BRUSSEL (Belgique)
https://ondes.brussels/5G

5G – La nouvelle utopie – Le mythe sans limite par Miguel COMA

Miguel Coma est un ingénieur électricien (MSc) belge avec une spécialisation en électronique et télécommunications.

Lien vers son rapport:
5G_la_nouvelle_utopie_miguel_Coma

Royaume-Unis – article de presse

Somerset council blocks 5G roll out until ‘Government can prove its safe’

`https://www.somersetlive.co.uk/news

USA – 5G Crisis – Awareness & Accountability

La 5G est une fréquence plus élevée que les autres, donc elle parcourt des distances plus courtes que les signaux sans fil actuels, ce qui signifie qu’un nombre exponentiel de dispositifs de transmission doivent être installé pour assurer la connectivité – des millions de plus, en fait, sur les lampadaires, les poteaux téléphoniques et autres “emprises” pour les services publics existants. Chaque station émettra des rayonnements à des niveaux connus comme pouvant développer le cancer, la stérilité, des dommages à l’ADN et d’autres effets nuisibles… surtout à nos enfants, qui sont les plus à risque.
L’industrie du sans fil a admis n’avoir AUCUNE ÉTUDE démontrant que le 5G est sécuritaire (et n’a pas l’intention d’en faire), alors que des études scientifiques indépendantes et évaluées par des pairs ont indiqué que le 5G est dangereuse.
http://the5gsummit.com/

Australie – Les habitants de Byron Bay en Australie s’inquiètent des dangers pour la santé liés au rayonnement 5G.

https://www.prime7.com.au/

Canada – L’avis d’un physicien canadien sur l’arrivée de la 5 G!

https://omny.fm/shows/dutrizac

Vidéos et reportages sur la 5G et les risques liés aux hyperfréquences ou radiofréquences

27/01/2021 – C8 – émission “Touche pas à mon poste” présentée par  Cyril Hanouna avec le Docteur Marc Arazi (Alerte Phonegate) Nos téléphones sont-ils dangereux pour notre santé ?

Janvier 2021 – 5G – Quel impact sur notre santé ?

CONSOMAG – 16 mars 2020 – L’arrivée de la 5G : ça veut dire quoi ? 

 

Suisse 29.08.2020 – Documentaire: “Le Danger Invisible” (“Die Unsichtbare Bedrohung”).

Exemple de lutte fructueuse menée pendant 15 ans contre l’implantation de l’émetteur suisse à ondes courtes de Radio-International à Schwarzenburg, qui a dû être démonté sans être remplacé à l’été 1998 en raison de problèmes de santé massifs au sein de la population.
Le documentaire dure 60 minutes et représente le combat mené entre les années 80 jusqu’en 2000″.

L’auteur Daniel Näf résume l’histoire de l’Electrosmog en Suisse dans une vision passionnante sur l’ancienne station à ondes courtes de Schwarzenburg. Comment les autorités, les exploitants de stations d’antennes et les scientifiques corrompus se sont unis pendant 40 ans pour mentir et tromper le peuple suisse de cette région jusqu’à ce que l’antenne soit démantelée. Le parcours d’un combattant et expert Hans-Ulrich Jakob (spécialiste suisse en pollution électromagnétique de radio-fréquences et micro-ondes) avec son épouse.

Les méthodes les plus perfides furent adoptées pour faire taire le protagoniste. Il fut victime de campagnes de diffamations, de sabotages et de harcèlements divers. Il fut mis sur écoute et était sous surveillance constante. Malgré tous ces obstacles semés sur son chemin, aucun n’eut raison de lui et Hans-Ulrih Jakob contribua de façon décisive à l’extinction de cette omineuse machine de propagande issue de la guerre froide.
Ce succès ne fut qu’une bataille de gagnée !
“Le danger invisible” continue inexorablement son parcours sans tenir compte de la santé des hommes et de la nature.
Ce film démontre quels sont les effets néfastes que peuvent avoir les rayonnements artificiels sur les humains.
Sous-titré en français: https://le-danger-invisible.ch/
Lien vers le site officiel suisse-allemand: https://www.gigaherz.ch/

31 juillet 2020 – Choux – Brave Magazine – La 5G sur le terrain – David Bruno

Réalité sur la 5G en Suisse par David Bruno (France) – Quelle est la réalité sur le terrain ?

18 mars 2020 – 50.000 satellites 5G, pour quoi faire ? Entretien avec Jean-Marie LOPEZ, astronome.

Euronews – 15 Janvier 2020 – La 5G en question à Bruxelles : avancée ou risque sanitaire ?

18 septembre 2019 – 5G et santé : quels sont les dangers ? – 36.9°
Lien:
https://www.rts.ch/play/tv/36-9/video/5g-et-sante–quels-sont-les-dangers-?urn=urn:rts:video:10716513

https://www.rts.ch/play/tv/36-9/video/5g-et-sante–quels-sont-les-dangers-?urn=urn:rts:video:10716513

5G : Dans quelques mois, on va tous être exposés comme jamais auparavant dans l’histoire de l’humanité.
5 G: In a few months, we will all be exposed like never before in the history of humanity.

Documentaire de Sacha Stone (USA) sur la “5G Apocalypse” sous-titré en français

https://sachastone.com/5g-apocalypse-the-extinction-event/

Suisse – 5G National Event – Pierre Dubochet

https://www.youtube.com/watch?v=DZJTnqvB7-M&feature=share&fbclid=IwAR2PTdPRLPMg1G4kGTDilyOguQ_UI5st_VZLsteIK_bNYUrJupFIznvnKfs

Rage contre la machine 5G

Possibilité qu’une tour 5G située à côté d’une école américaine (Ripon – Californie) soit enlevée après que 4 jeunes élèves de l’école élémentaire aient développé un cancer

En Californie, des abeilles qui meurent et tombent du ciel sous deux mats d’antennes 5G!

Audience sur la 5G au Sénat américain.
L’industrie des télécommunications et les autorités ne savent rien en ce qui concerne les effets sanitaires et la sécurité de la population!
Lors d’une audition au Sénat américain à Washington D.C. sur la technologie 5G, le 06.02.2019, le sénateur Blumenthal a déclaré : “Il n’y a donc pas de recherche en cours, nous sommes donc dans une sorte de vol avec des pilotes aveugles ici. Au moins en ce qui concerne la santé et la sécurité.”

5G. L’avis du Docteur Martin Pall (USA).

 

Oui, les protections anti-ondes seront encore efficace contre la 5 G !

Pour celles et ceux qui possèdent déjà une protection contre les ondes de haute fréquence par une peinture conductrice au carbone et/ou des voiles, baldaquins, tapis anti-ondes à fils métalliques (acier, argent, cuivre tec.), sachez que vous êtes déjà protégé contre les champs électromagnétiques de la 5G !

Si une société commerciale prétend que vous n’êtes plus protégé contre la future 5G alors que vous avez déjà investis dans des solutions de blindages anti-ondes, et que votre système ne fonctionnera pas ou est devenu obsolète, cela signifie que le produit qu’il vous a vendu n’a jamais fonctionné ou qu’il s’agit d’une escroquerie !

Nous prévenons nos abonnés et notre aimable clientèle que lorsqu’un produit protège déjà des ondes de la téléphonie mobile 2G, 3G, 4 G, du DECT, du WLAN (Wi-Fi), Wi-Max etc…il protègera aussi de la 5G !

Dernière mise à jour: Avril 2020

 

L’augmentation du rythme cardiaque (ECG) chez l’homme et l’animal à proximité des antennes de téléphonie mobile – Expérience du Docteur Monika Krout (Allemagne)

L’expérience du Docteur Monika Krout (Allemagne) accompagnée d’une personne électrohypersensible et de lamas sous les antennes de téléphonie mobile

Une étude très intéressante montre comment les lamas et les alpagas réagissent aux rayonnements des antennes de téléphonie mobile. L’avantage est que les animaux ne peuvent être accusés d’influence psychologique.

Pour de plus amples informations, veuillez consulter le site www.ulrichweiner.de

Extrait du journal allemand STERN, lien:
https://www.stern.de/lifestyle/jwd/jwd-magazin–elektrosensibilitae

L’histoire d’un quartier d’Aix-la-Chapelle exposé aux antennes

Le Dr Monika Krout est médecin à Aix-la-Chapelle (Allemagne). Elle est aussi électrosensible. Tout comme son mari. Exposée aux rayonnements de hautes fréquences Ulrich Weiner, un homme électrohypersensible a eu des crises d’épilepsie. Il y a quelques mois, son mari est mort d’une hémorragie cérébrale. Elle est sûre que c’est l’antenne de téléphonie mobile qui se trouve à 60 mètres de sa maison, qui est responsable. Elle a été construite trop bas et trop près des maisons.

Dans le quartier, ils appellent leur rue “la rue des veuves” parce que les hommes succombent au cancer par dizaines. Le Dr Krout a enregistré les cas, s’est adressé aux politiciens, à une association médicale, au département de la santé. La réponse qu’elle reçoit est toujours la même : On prend sa demande au sérieux, mais on ne peut rien faire. Les normes autorisées seraient respectées. L’accumulation de cas ne serait qu’une coïncidence. C’est pourquoi elle est maintenant à la recherche d’autres personnes qui ont subie aussi des choses comme celles-là.

L’Electrohypersensible allemand bien connu Ulrich Weiner est un de ses ami. Ils ont décidé d’aller visiter une personne qui élève des lamas et des alpagas pour montrer que les rayonnements des antennes mobiles affectent tout le monde y compris les animaux. Ceci parce qu’ils ne peuvent pas inventer des effets psychosomatiques ou imaginaires.
« Vous n’avez aucune idée de ce qu’est une antenne de téléphonie mobile n’est-ce pas ?” dit Ulrich Weiner (qui se fait appeler Uli) en caressant la fourrure de son ami au long cou.

Deux personnages apparaissent dans le reportage : Le Lama Amaretto et le docteur Monika Krout. L’alpaga est toujours à l’affût, mais c’est un comportement habituel chez cet animal.

Expérience

L’animal hirsute et Uli sont reliés par le Dr Krout à un appareil particulier qui mesure les variations de l’ECG (le rythme cardiaque) en dehors et à l’approche des antennes. De plus, le lama est attaché à un dosimètre, un appareil de mesure qui enregistre la dose de rayonnement simultanément.

Uli et le Dr Krout partent sur un chemin dans la forêt, qui mène tantôt plus près, tantôt plus loin des antennes de téléphonie mobiles. On ne peut pas voir Uli. Il fait chaud. Il a enlevé sa combinaison de protection pour que les valeurs ne soient pas falsifiées. Néanmoins la sueur est visible sur son front quand il revient avec le Lama. “Une telle promenade, une heure sans combinaison de protection, c’est vraiment violent dit-il.” Plus tard, l’évaluation des ECG selon l’expérience de Monika Krout montre que là où le rayonnement de haute fréquence des antennes augmente, le rythme cardiaque augmente également et cela à la fois pour Uli et le Lama. Le cœur bat plus vite près du pylône de téléphonie mobile que lorsque vous montez légèrement. Je n’ai rien remarqué de tout ça. Je me sens très bien. Et beaucoup de gens ressentent la même chose que moi. Nous pouvons apparemment vivre assez bien avec l’exposition aux ondes. “Mais pour combien de temps ?“, demande Uli.

Vidéo (en allemand) illustrant le récit ci-dessus:

Traduction allemand français Benoît Louppe – Octobre 2019
Reproduction même partielle interdite sans accord préalable des auteurs.

Rencontre de Benoît Louppe, directeur du bureau Etudes & Vie avec le Docteur Monika Krout (à coté du réalisateur de film Klaus Scheidsteger) du 4 au 6 octobre 2019 à Mainz (Allemagne). Symposium sur la 5 G et les conséquences des technologies sans fils sur la santé.

Monika Krout, Klaus Scheidsteger, Be

Monika Krout, Klaus Scheidsteger, Benoît Louppe

Les alliages métaliques utilisés en dentisterie, les effets galvaniques…

Les alliages métalliques utilisés en dentisterie, les effets galvaniques… leurs conséquences sur la santé

 par J. M. DANZE
(Licencié ès Sciences Chimiques, Univ. Liège, ex assistant à l’Institut de Pharmacie, Consultant en biophysique).

Lorsque deux métaux différents sont simultanément plongés dans un électrolyte commun, il apparaît entre ces deux métaux une différence de potentiels électriques. Celle-ci peut se mesurer en Volts (V) ou en millivolts (mV).

Nous savons que la salive est un électrolyte de composition très complexe, voisine de celle de l’eau de mer , dont le pH varie entre 6,3 et 7,3 et dont la température oscille autour de 37 °C.

Lorsque, dans la cavité buccale, des alliages ou des amalgames de compositions différentes sont en présence, il apparaît parfois des différences de potentiels électriques entre deux pièces métalliques. Ces différences de potentiel (mesurées en valeurs relatives) peuvent atteindre jusqu’à 1500 mV et même davantage.

On attachait jadis peu d’importance à ce phénomène, sans doute parce qu’on ne concevait pas qu’il pu être à la base de processus iatrogènes, mais aujourd’hui, le développement des connaissances en physiologie et particulièrement en toxicologie des métaux a mis la question des métaux prothétiques à l’avant plan de l’actualité.

Le prof. R. Soremark du Karolinska Institut de Stockholm [1] a objectivé ces migrations ioniques qui avaient déjà fait l’objet de nombreuses publications en Allemagne bien avant la guerre [2]. Il suffit de 21 jours d’expérimentation pour montrer de façon indiscutable la corrosion d’amalgames, de crochets en chrome cobalt et l’augmentation de la concentration en Argent, Mercure dans l’émail et la dentine des dents obturées en amalgame.

Le même problème se pose en orthopédie et une nouvelle discipline en est issue; elle a pour objet la “biocompatibilité” des métaux. Les matériaux biocompatibles sont des matériaux que les cellules vivantes acceptent et intègrent dans la structure tissulaire (donc ne rejettent pas) [3]. Les essais de ces matériaux peuvent aisément se réaliser in vitro en les mettant par exemple en présence d’ostéoblastes (technique utilisée pour les implants) ou d’explants d’épithélium de gencive [4-5].

Les effets galvaniques dans la cavité buccale peuvent avoir deux types de conséquences nuisibles

1. la différence de potentiels peut par elle-même perturber le système neuro-végétatif du patient. N’oublions pas qu’actuellement, on admet que le potentiel de fonctionnement des membranes cellulaires (neurones) est d’environ 45 mV (Prix Nobel 1991, B. Sakmann et E. Neher). Or, durant le sommeil, le contact entre les mâchoires n’est pas fixe et la plupart des gens normaux accusent un très léger bruxisme, ce qui transforme alors le courant continu de base en impulsions lesquelles peuvent constituer des informations électriques perturbatrices.

On voit ainsi apparaître cette notion généralement assez mal comprise de “blocages” thérapeutiques possibles. L’individu se perturbe dans la sphère psycho-neuro-endocrinologique et peut devenir rebelle à toute thérapie.

Quand on observe la branche inférieure du nerf maxillaire et la distribution de ses dendrites à chaque racine dentaire, on peut comprendre qu’une névralgie du trijumeau puisse avoir son siège à la suite d’un effet galvanique (micro-décharges électriques) se propageant depuis l’obturation vers le nerf. La coagulation du ganglion de Gasser (pratiquée dans les cliniques de la douleur) est-elle la véritable solution ? Ne faudrait-il pas avant tout examiner les dents (potentiels électriques et dépassements de racines) ? En d’autres termes, faut-il détruire le signal d’alarme avant d’avoir découvert l’intrus ?

2. lorsque deux métaux différents constituent une pile (cfr. Pile de Daniell vue dans l’enseignement moyen), l’élément métallique le plus réactif (le plus électropositif) passe progressivement en solution sous la forme d’ions. La salive, avec sa composition particulière est un milieu idéal pour former cette pile entre les masses d’obturations ou de prothèses en présence dans la cavité buccale. Il s’agit là tout simplement d’un processus de corrosion électro-galvanique.

La corrosion électrique n’est pas un phénomène propre à la dentisterie; elle constitue une préoccupation majeure pour tous les électrochimistes et pour tous les ingénieurs métallurgistes [6]. Elle fait l’objet à elle seule d’une discipline relevant d’une spécialisation universitaire. Il est bien connu des plombiers, par exemple, que lorsque sur une conduite d’eau, on monte un raccord en laiton sur un tube en acier, l’acier va se corroder très rapidement.

En art dentaire, ce cas de figure dû à la présence d’un amalgame à côté ou sous une couronne en or peut induire une intoxication, une subintoxication ou une sensibilité allergique, suite à la libération d’argent, de mercure, de cuivre, d’étain.

Or, nous savons depuis quelques dizaines d’années que nos processus cellulaires sont régis par des enzymes spécifiques et les chercheurs ont pu recenser parmi ces enzymes plus de 600 métallo-enzymes nécessaires au métabolisme profond de nos cellules. Ces métallo-enzymes possédant dans leur structure un métal particulier (par exemple, la céruloplasmine , enzyme à base de cuivre permettant la fixation du fer) peuvent être sélectivement bloquées par un certain nombre de métaux dont l’encombrement atomique et la réactivité sont voisins de celui du métal spécifique à l’enzyme. En somme, ces métaux perturbateurs prennent la place du métal désigné sur la molécule, jouent en quelque sorte le rôle d’un leurre et la bloquent. Cet aspect de l’intoxication métallique est peu apparent au début de son processus et peut se traduire par une foule de symptômes disparates et non caractéristiques d’un syndrome particulier connu.

De plus, on sait également aujourd’hui que de faibles concentrations en nickel ou en cobalt ou en chrome empêchent la réparation des cordons d’ADN endommagés. Ceci peut dans certains cas induire un effet mutagène, voire carcinogène [11-12-13].

Ces motifs justifient amplement l’intérêt que tout thérapeute doit accorder aux phénomènes galvaniques dans la cavité buccale.

Le point 1 peut être facilement appréhendé et circonscrit grâce à la mesure des différences de potentiels, au moyen d’électrodes spéciales (autoclavables) adaptées à un simple millivoltmètre. On procède par mesures croisées. Le millivoltmètre indique la polarité de la pile buccale et le pôle le plus négatif sera constitué par l’alliage à éliminer. Il s’agira en général d’un alliage en métal vil ou d’un amalgame.

Plus la différence de potentiels d’électrodes entre les pièces métalliques en présence est élevée, plus les passages en solution sous forme d’ions seront facilités. La mesure de l’intensité de courant en µA fournit l’expression quantitative du phénomène, c’est à dire de la quantité de métal subissant la corrosion et se libérant sous forme d’ions. En somme la présence d’un courant mesurable en microampères confirme le fonctionnement réel et continu de la pile buccale.

Certains praticiens contestent cette méthode de mesure parce que ne faisant appel qu’à deux électrodes. En effet, nous pourrions mettre en œuvre une troisième électrode (dite de référence) afin d’obtenir des mesures en valeurs absolues. Ceci ne ferait que compliquer inutilement les choses, car ce que nous recherchons, c’est la différence de potentiels relative entre deux pièces métalliques afin de guider le praticien dans son travail d’élimination du ou des alliages (ou amalgames) responsables du phénomène.

Certains thérapeutes mesurent le courant galvanique entre la pièce prothétique et la muqueuse de la joue ou entre la pièce prothétique et la peau, ceci constitue une erreur, car la résistance interne de la pile ainsi mesurée est très élevée et ne reflète pas la réalité.

L’intérêt de la méthode réside précisément dans le fait de mesurer la différence de potentiels entre les deux points de contact d’une pile, comme nous le ferions pour évaluer une pile de torche électrique. Point n’est besoin d’avoir dépassé le niveau de l’enseignement secondaire pour le comprendre!

Il existe sur le marché allemand des appareils mesurant simultanément et enregistrant sur imprimante non seulement les différences de potentiels mais aussi le courant galvanique en micro-ampères (intensité du phénomène de corrosion indiquant la quantité d’ions libérés). (Un simple multimètre d’électricien muni d’électrodes adéquates peut permettre le même résultat mais requiert un certain tournemain !)

En ce qui concerne le point 2, voyons ce que nous dit l’électrochimie : il existe une échelle de potentiels d’oxydo-réduction des métaux (tableau 1)[7]. En somme, chaque métal entrant en réaction libère un ou plusieurs électrons et ce phénomène s’accompagne d’une différence de potentiels mesurable en millivolts (mV). La firme Sargent (Chicago) a édité en 1963 une échelle à curseurs intitulée “Sargent Chemical Predictor” permettant de prédire quels sont les métaux aptes à se déplacer mutuellement dans une réaction (analytique, par exemple) où ils seraient mis en présence.

Nous y trouvons par exemple :
Zn ?Zn2+ + 2e- (+ 763 mV par rapport à l’électrode normale d’hydrogène)
Si du zinc est mis en présence de cuivre dans une solution d’électrolyte, il va être mis en solution par le cuivre :
Cu ? Cu2+ + 2e- (- 337 mV / E.N.H.)

Car un métal ayant un potentiel de réaction négatif va déplacer un autre métal dont le potentiel est relativement plus positif.

Tableau des potentiels redox des métaux utilisés en dentisterie (le zéro est donné par l’électrode normale à hydrogène -E.N.H.)

La protection de pièces métalliques en acier (Fe) par galvanisation (Zn) est une application technologique de ce phénomène. Le zinc protège le fer en passant en solution.
Fe _ Fe2+ + 2e- (+ 440 mV / E.N.H.)
Zn _ Zn2+ + 2e- (+ 763 mV / E.N.H.)
?mV = 323 mV

Pendant la 2ème guerre mondiale, on laissait descendre le long de la coque des “Liberty Ships” attendant leur armement à quai, des cylindres de zinc reliés à la coque par des câbles soudés. Le zinc se corrodait en polarisant la coque et en laissant ainsi le fer intact, grâce à une différence de potentiels d’environ 323 mV (l’eau de mer servant d’électrolyte pour la pile ainsi formée).

Le phénomène est le même pour les pièces en alliages et les amalgames dans la bouche, mais là, c’est le passage en solution du métal le plus électropositif (le plus réactif) qui nous préoccupe. Le contact direct métal/métal entre les pièces buccales n’est pas nécessaire pour engendrer ce phénomène [2], la conductivité de la salive suffit.

Nous savons aujourd’hui que 28 métaux différents (et 2 non métaux) sont utilisés dans la réalisation des prothèses dentaires métalliques.

Les métaux principaux, quantitativement, sont le Béryllium (ou Glucinium), l’Aluminium, le Titane, le Tantale, le Manganèse, le Ruthénium, le Chrome, le Gallium, le Germanium, le Fer, le Cobalt, le Zinc, le Nickel, l’Indium, l’Etain, le Molybdène, le Cuivre, le Palladium, le Zirconium, le Rhodium, l’Iridium, le Mercure, le Platine, l’Argent, et l’Or.
Nous représentons en annexe le tableau des potentiels redox des métaux utilisés en dentisterie.

On peut considérer d’une manière générale que tout métal situé à un niveau de cette échelle sera mis en solution par un métal situé plus bas.

Par exemple, le nickel présent dans un alliage est capable de provoquer la mise en solution du fer, mais l’or sera capable de solubiliser le nickel. Le gallium est capable de solubiliser l’aluminium, le béryllium.

Cette échelle n’a rien d’absolu, car le pH et la composition chimique de la salive à certains moments de la journée peuvent fluctuer et modifier le potentiel d’électrode d’un ou de plusieurs métaux présents dans la cavité buccale. Mais ces fluctuations sont de peu d’impact sur le principe général.

Soulignons au passage le cas du Béryllium, situé tout en haut du tableau, c’est à dire passant inévitablement en solution lorsqu’il est mis en présence de tout autre métal. Combien de personnes ont encore en bouche des alliages de béryllium ? Pourtant, le pouvoir carcinogène de ce métal, même en traces n’est plus à démontrer (Encyclopédie Médico-chirurgicale Française et Merck Index).

Dans tous les processus de corrosion, des phénomènes de passivation temporaire ou de dépolarisation peuvent, soit ralentir, soit activer le passage des ions en solution.

Mais une chose est certaine, c’est que la mastication des aliments et le bruxisme érodent constamment les minces couches d’oxyde (couche de passivation) et libèrent ces substances dans le tractus digestif où l’acide chlorhydrique gastrique contribuera à la mise en solution des oxydes métalliques finement divisés. On peut considérer qu’en dépit des déclarations de certains soi-disant spécialistes, la passivation des métaux dans la cavité buccale est inexistante, vu les conditions mécaniques auxquelles les alliages sont soumis! La preuve, c’est que les alliages s’usent avec le temps! Qu’est devenu le produit de cette usure ?

L’état de surface obtenu par polissage ou par moulage n’a qu’une influence très éphémère, retardant tout au plus de quelques jours les phénomènes de corrosion. Des photos prises au microscope électronique à balayage le montrent sans équivoque possible [8]. Par contre, le polissage d’un alliage ou d’un amalgame ancien avive la superficie et réactive l’effet de pile.

Un point important doit retenir notre attention : la métallurgie classique nous apprend que les phénomènes de corrosion sont accentués par la présence d’impuretés contenues dans les métaux. Et tout métal joue pour l’ensemble de l’alliage où il est présent, le rôle d’impureté.

Un exemple douloureux pour les consommateurs est bien connu dans la sidérurgie moderne: les tôles sont fabriquées à partir de minerais de fer et de mitrailles recyclées (voitures débarrassées des éléments non métalliques, mises à la casse, compactées en ballots et enfournées telles quelles dans les haut-fourneaux. Ces ballots contiennent de l’aluminium, du zinc, du plomb, du cadmium, du chrome, du cuivre, de l’étain, etc.) et les carrosseries fabriquées à partir de ces tôles rouillent spontanément si on ne les traite pas immédiatement, à cause d’effets de micro-piles formées par les impuretés métalliques contenues dans le fer.

Une légende court parmi les dentistes, soigneusement entretenue en haut lieu : “un alliage serait un nouveau composé chimique qui n’aurait plus rien de commun avec les métaux constitutifs pris individuellement”. N’importe quel chimiste métallurgiste pourra affirmer catégoriquement et sans commettre d’erreur que dans un alliage, chaque métal conserve ses propriétés chimiques de départ, même si l’alliage a été parfaitement fondu. Aucun alliage n’est un mélange parfait ! Il existe dans tout alliage des micro-zones non homogènes où l’un des constituants forme de petits édifices cristallins de métaux purs. Chaque métal présent forme de telles micro-zones hétérogènes. Ces zones sont clairement visibles au microscope électronique à balayage. A partir de la surface, des micro-piles vont apparaître et engendrer des zones de corrosion qui vont être la source de libération d’ions métalliques. Les quantités de ces ions ne seront guère importantes, mais elles suffiront à créer des sensibilisations de type allergénique chez des sujets sensibles. (Le simple contact avec la peau ou les muqueuses, du nickel ou du cobalt, en l’absence de tout phénomène de corrosion peut engendrer un processus allergique).

Les amalgames

Les amalgames sont en quelque sorte des alliages réalisés à température ambiante. Donc, le mercure qui, à cette température est à l’état liquide, est mélangé à une poudre contenant de l’argent, du cuivre, de l’étain, du zinc et du mercure. Les particules de poudre sont des agrégats d’atomes et il va de soi que leur dispersion dans le mercure liquide laissera subsister bon nombre de ces agrégats. Il n’y aura pas de mise en solution totale des métaux dans le mercure. Examinée au microscope électronique, une coupe dans un amalgame montre des agrégats bien différenciés de l’alliage mercuriel périphérique proprement dit. Chaque grain ainsi différencié va former avec le mercure alentour, une micro-pile avec mise en solution du métal le plus électropositif, c’est à dire l’argent, le zinc, l’étain ou le cuivre. La corrosion va lentement progresser en profondeur… Si, dans la cavité buccale, on place en plus une couronne en or, une nouvelle pile va se former, mais cette fois entre le mercure et l’or et le mercure va passer en solution sous la forme d’ions Hg2+ . Des micro-excavations vont apparaître et former des canalicules qui s’étendront à la masse de l’obturation. Le phénomène de corrosion du mercure des obturations en amalgames était déjà connu des fabricants d’amalgames en Allemagne depuis les années 1960, comme cela a été formellement établi par l’Expertise de l’Institut de Toxicologie de l’Université de Kiel en 1995 [2]. Il est donc impensable que ces connaissances n’aient pas filtré dans d’autres pays européens.

De plus, une étude de l’Université de Tübingen, publiée en 1996 [9] , réalisée sur 17.000 patients a montré que les obturations en amalgame libèrent des quantités importantes de vapeurs de mercure dans la cavité buccale. Certains patients sont ainsi exposés à plus de 200 fois la norme acceptée en Allemagne pour les expositions professionnelles, en termes de dose acceptable. Les déclarations de l’Organisation Mondiale de la Santé, prétendant que l’absorption maximale de mercure pour le public en général proviendrait principalement de la consommation de poisson (et reprises en choeur par les responsables de Santé Publique) sont tout simplement ridiculisées. Il serait peut-être bon de se poser maintenant la question de savoir si les experts de l’O.M.S. ont bien pour objectif la protection de la santé. De toute manière, si telle est bien la position de ces experts, on peut s’interroger sur les motifs d’un tel manque de rigueur de la part de personnalités qui devraient être au dessus de tout soupçon.

Nous pouvons dire d’une manière générale que certains responsables de Santé Publique font preuve de grande légèreté. Ceci apparaît dans le Rapport d’Expertise de l’Université de Kiel (sans compter les pressions exercées par l’administration allemande pour étouffer l’affaire).

Le mercure contenu dans un flacon en polyéthylène souple et incassable (pour éviter de répandre le métal volatil à température ambiante), porteur d’une étiquette mettant en garde contre tout danger de manipulation devient inoffensif dans une obturation dentaire ! Le miracle s’accomplit … dans le cabinet du dentiste. Le paradoxe devient d’autant plus évident que les rejets de déchets de fraisages d’amalgames dans les cabinets dentaires posent des problèmes pour l’environnement.

Alors, les autorités se contorsionnent en essayant de prouver qu’un amalgame non gamma-2 ne libère pas de mercure, que le mercure y serait totalement fixé dans un nouveau composé chimique parfaitement stable. L’Institut de Toxicologie de Kiel [2] montre qu’en Allemagne, depuis plus de 20 ans des chercheurs universitaires ont prouvé que tous les amalgames dentaires libèrent des vapeurs de mercure et même dans certains cas de fines gouttelettes de mercure en surface. Les résultats de ces recherches ont été passées sous silence au niveau des praticiens de l’art dentaire ! Pour quelle raison ? La Science n’a-t’elle pas la même signification quand elle implique de grands lobbies industriels ?

Certains tentent également de nous montrer que l’intoxication mercurielle suite à la présence d’amalgames n’existe pas puisque les doses de mercure trouvées dans le sang et dans l’urine sont pratiquement les mêmes pour tous les individus, même pour ceux qui ne sont pas porteurs d’obturations en amalgames.(Ceci à l’exception des personnes exposées journellement dans un cadre professionnel). Ils perdent évidemment de vue que le sang et l’urine ne sont que des sites de passage pour le mercure, soit sous forme vapeur, soit sous forme de sels ou sous forme de méthyl-mercure. On apercevra une importante augmentation du mercure sanguin et urinaire le lendemain de la dépose d’un amalgame sans précautions, par exemple [9]

Rappelons qu’en toxicologie, il existe des organes-cibles et qu’une intoxication métallique va parfois consister en une lente accumulation progressive de traces du métal au niveau de ces organes. Il a fallu des années (et combien de morts par cancer) pour se rendre compte que le DDT se stocke préférentiellement dans les tissus adipeux et conjonctifs. La toxicologie du mercure nous indique que les organes-cibles du mercure sont le cerveau, les reins et le foie [10].

Certains chercheurs ont-ils pris l’habitude de chercher sous une lampe d’éclairage public la clé qu’ils ont perdue à 50 mètres de là dans une zone obscure ?

Les études allemandes de Tübingen [9] et de Kiel [2] montrent surtout que parmi la population, un grand nombre de personnes souffrent de troubles de santé liés aux obturations en amalgame. Parfois ces troubles sont graves, parfois ils se résument à un mal-être qui n’incite pas à consulter de médecin. Mais faut-il encore le répéter, ces patients souffrant de maux de tête, de névralgies, de vertiges, d’insomnies, de tremblements consomment constamment des médicaments (qui vont ajouter un nouvel effet iatrogène) et coûtent à la collectivité par diminution de productivité.

Qui entretient le flou en tentant de nous présenter des données fausses sous des aspects de vérités indiscutables ? Les problèmes historiques du sang contaminé, de l’amiante, de l’encéphalite bovine spongiforme auraient pourtant dû faire réfléchir les experts qui conseillent les politiques, à moins que les décideurs ne soient plus les politiques!

Tout ceci nous montre que la santé des citoyens n’a souvent de poids que dans les discours politiques de campagnes électorales mais qu’en réalité elle cède souvent le pas à d’énormes intérêts financiers dissimulés sous le masque de l’intérêt collectif.

Quelles solutions proposer ?

Les alliages métalliques dentaires et les amalgames posent un certain nombre de problèmes.

1.Selon nous, il est grand temps de trouver une solution de remplacement aux amalgames. Il serait vraiment paradoxal qu’à une époque où l’on dirige des fusées destinées à l’étude du sol de la lune, de Jupiter et de mars, on ne puisse trouver un matériau pouvant se substituer à l’amalgame.

2.Quant aux autres métaux, un certain nombre de données doivent être prises en considération.

Le béryllium est sans doute l’un des métaux les plus toxiques et son potentiel redox nous indique qu’il est le plus sensible aux effets d’électro-galvanisme (passage en solution). Il est d’autant plus dangereux que sa densité est faible (1,84), donc un faible pourcentage en poids de béryllium ne reflète pas la surface de corrosion qu’il présente dans un alliage (beaucoup plus élevée que sa proportion pondérale).
.Selon nous il devrait être totalement exclu de l’art dentaire et les alliages qui en contiennent devraient être immédiatement éliminés de la bouche des patients.

3. La sensibilité d’un patient à un alliage ou à un amalgame n’est pas une question de statistiques : elle est individuelle !

Avant de poser un alliage, trois opérations devront être réalisées avec l’appareil MORA afin de déterminer d’une part la tolérance du patient vis-à-vis de l’alliage et d’autre part les compatibilités électrochimiques des métaux entre eux, dans la cavité buccale.

A. LA TOXICITE On mesure les points Foie 1 et Rein 1 en maintenant l’émetteur du combiné émetteur-récepteur sur les échantillons d’alliages proposés, l’un à la suite de l’autre (le récepteur est raccordé à la douille T sous le module de mesure).
Si l’un des alliages est toxique pour le patient, le point Fo1 ou le point Re1 va accuser une valeur nettement supérieure à 50 ou une valeur en chute (danger de processus dégénératif).
Si l’alliage est compatible, le point Fo1 et le point Re1 resteront à 50.

B. LE POUVOIR ALLERGENIQUE
Mesurer sur le point Allergie 1, en maintenant l’émetteur du combiné émetteur-récepteur sur les échantillons : si un des alliages est allergénique pour le patient concerné, la mesure accusera une valeur supérieure à 50. Pour qu’un alliage puisse être considéré comme inerte, le point All.1 doit se maintenir à 50 lorsque l’alliage est sous l’émetteur TSE.

C.VERIFIER LA COMPATIBILITE ELECTROCHIMIQUE DES ALLIAGES choisis avec les alliages et amalgames déjà présents dans la bouche du patient. Ceci se réalise en plaçant l’échantillon de l’alliage dans la bouche du patient, en priant celui-ci de l’imprégner de salive. Au moyen des électrodes dentaires, en plaçant le commutateur de l’appareil MORA sur la position ZU, on mesure successivement la différence de potentiel entre l’échantillon et chaque pièce métallique. La valeur mesurée ne doit pas dépasser 50 mV.

Ces précautions évitent bien des déboires futurs, en permettant de choisir les métaux les mieux adaptés au patient concerné.

4. Lorsqu’un alliage, un amalgame ou une prothèse sont soupçonnés d’être la cause d’une réaction ou d’une perturbation énergétique d’origine électrogalvanique chez un patient, l’appareil MORA va nous permettre de choisir en connaissance de cause l’attitude à adopter.

En général, c’est d’un “blocage énergétique” général qu’il s’agit et le patient revient régulièrement à la consultation avec les mêmes point d’électroacupuncture perturbés.

Nous ne donnerons pas ici les détails des manipulations à effectuer, mais nous indiquerons simplement que nous prenons sur l’obturation ou sur la pièce métallique via une électrode dentaire une information électromagnétique supposée perturbatrice que nous fournissons à l’appareil MORA.

Celui-ci, grâce à son système d’opposition de phase, délivre à la sortie des oscillations “inversées”.
Si ces oscillations inversées (et amplifiées) corrigent les points “chroniquement perturbés”, c’est que l’obturation ou l’alliage est en cause.
Nous remplaçons à l’entrée de l’appareil MORA, l’électrode dentaire par le récepteur du combiné émetteur-récepteur TSE, et nous posons l’émetteur sur des échantillons des métaux habituellement utilisés en dentisterie.
Si un groupe de métaux situés sous l’émetteur corrige les points perturbés de la même façon que l’amalgame ou la pièce métallique, c’est que nous avons identité de signaux électromagnétiques à l’entrée de l’appareil MORA, donc identité de causes.
Grâce à une glissière écran que nous intercalons entre le capteur de l’émetteur et les échantillons de métaux, nous aurons tôt fait d’identifier avec précision le métal (ou les métaux) responsable(s).
Lorsqu’on détecte plusieurs métaux responsables, il est bon d’agir progressivement dans le démontage des travaux.

Le fait de déposer un seul alliage peut changer totalement la configuration électrogalvanique de la bouche. La proximité des alliages et leur éloignement peut changer complètement l’aspect du problème.

De plus, le seul fait d’enlever un alliage ne résoudra pas d’emblée le problème d’intoxication chronique, ou d’allergie. Il faudra provoquer chez le patient, l’élimination de la “mémoire cellulaire” de cet alliage.

Pour cela, nous aurons à nouveau recours au traitement MORA, mais sur l’ensemble du patient, en mettant à profit le filtre à résonance moléculaire.
Parfois, des dilutions homéopathiques en 200 K accompagnées d’un drainage hépato-rénal auront un effet bénéfique. Mais, certains laboratoires refusent de fournir les métaux dans cette dilution qui nous paraît irremplaçable dans ce domaine. La dynamisation 9 CH n’a pas du tout le même potentiel d’action, l’expérience de plus de 20 ans le prouve.

Références bibliographiques

[1] Soremark R. Et al., “Influence of some dental restorations on the concentrations of inorganic constituents of the teeth”,Dep. Prosth. and Clinical Lab. of Royal Sch. Dent., 1962.

[2] Wassermann et al. “Kieler Amalgam-Gutach” (Expertise réalisée par l’Institut de Toxicologie de l’Université de Kiel, sur requète du parquet de Francfort), 1997.(bientôt disponible en langue française)

[3] Harmond M.F. (INSERM S.C. 31) et al. “Odontologie, Stomatologie, expérimentation in vitro de la bicompatibilité et du comportement des métaux”, Enjeux, n?74, nov. 1986.

[4] Sigot-Luizard M.F. (CNRS) “Evaluation “in vitro” de la cytotoxicité et de la cytocompatibilité d’alliages dentaires précieux et non précieux sur culture organotypique de gencive humaine” à paraître.

[5] Wataha J.C., Malcolm C.T., Hanks C.T. “Correlation between cytotoxycity and the elements released by dental casting alloys”, Int. J. Prosthodont 8: 9-14 (1995).

[6]Philibert P.,”Protection contre la corrosion” p.12-15, Ed. Presses Universit. De France, 1973

[7] Danze J.M. “Le système Mora ou le Rationnel en Médecine Energétique” Ed. Encre, Paris, 1992.

[8] Hildebrand H.F. and Champy F., “Biocompatibility of Co-Cr-Ni Alloys”, Ed. Plenum Press, New York, 1988.

[9] Roller E., Weiss H.D., Maier K.H. “Etude de l’Université de Tübingen concernant les Amalgames dentaires” (2 parties),Institut d’Analyse de l’Environnement et Institut de Gynécologie, Univ. Tübingen 1996 (traduction en langue française disponible)

[10] Testud F. “Pathologie toxique en milieu de travail”, Ed. Lacassagne Lyon, 1993, pp.142-146.

[11] Hartwig A., Mullenders L.H.F., Schlepegrell R., Krueger I, Beyersmann D. “Interaction of nickel (II) with D.N.A. repair processes : inhibition of the incision step in nucleotide excision repair”, Metal Ions in Biology and Medicine, Paris (1994) pp.235-240.

[12] Rodilla V., Miles A.T., Hawksworth G.M., “Metal toxicity and induction of metallothionein in cultured human proximal tubular cells” , Metal ions in Biology and Medicine, Vol.4, Paris (1996) pp. 88-90.

[13] Littlefield N.A., Hass B.S., “Effect of magnesium on DNA damage from cadmium, nickel, mercury and lead”, Metal ions in Biology and Medicine, (1994) Paris, pp. 507-512.

Résolution de Catania (Italie), Septembre 2002

Les scientifiques réunis à la Conférence Internationale :

“Etat des recherches concernant les champs électromagnétiques – Conclusions scientifiques et juridiques”, les 13 et 14 septembre 2002, organisée par l’Institut Supérieur Italien de Prévention et de Sécurité du Travail, par l’Université de Vienne et par la Ville de Catania ont manifesté leur accord concernant les points suivants:

Des études épidémiologiques et des expérimentations in vivo et in vitro apportent la preuve de l’existence d’effets induits par des champs électromagnétiques. Parmi ceux-ci, certains peuvent se révéler néfastes pour la santé.
Nous n’acceptons pas les arguments suggérant que de faibles (basse intensité) champs électromagnétiques ne pourraient interagir avec les tissus vivants.
Il existe des explications plausibles de mécanismes induits par les champs électromagnétiques et se produisant en deçà des recommandations actuelles des lignes directrices de l’ICNIRP, de l’IEEE et des recommandations d’exposition proposées par l’Union Européenne.
Le poids des preuves requiert des stratégies de prévention basées sur le Principe de Précaution. En l’état actuel, le Principe de Précaution peut impliquer l’évitement prudent et l’utilisation prudente.
Nous sommes conscients de ce qu’il existe des lacunes dans les connaissances des effets biologiques et physiques, ainsi que des risques pour la santé en relation avec les champs électromagnétiques. Ceci requiert des recherches complémentaires, indépendantes.
Les scientifiques signataires acceptent de mettre en place une commission scientifique internationale pour promouvoir la recherche en vue de la protection de la santé publique vis-à-vis des champs électromagnétiques et pour développer les bases scientifiques et les stratégies pour l’évaluation, la prévention, la gestion et la communication des risques fondées sur le principe de précaution.
Signataires:

Fiorella Belpoggi, Fondatione Ramazzini, Italie
Carl F. Blackman, Président de la Bioelectromagnetic Society (1990-1991), Raleigh, U.S.A.
Martin Blank, Department of Physiology, Columbia University, New York, USA
Emilio Del Giudice, INFN Milano, Italie
Livio Giuliani, Université Camerino, Italie
Settimio Grimaldi, CNR-INMM, Rome, Italie
Lennart Hardell, Department of Oncology, Hôpital Universitaire d’Örebro, Suède
Michael Kundi, Institut de Santé Environnementale, Université de Vienne, Autriche
Henri Lai, Départment of Bioengineering, Université de Washington, USA
Abraham R. Liboff, Département de Physique, Université d’Oakland, USA
Wolfgang Löscher, Département de Pharmacologie, Toxicologie et Pharmacie, Ecole de Médecine Vétérinaire, Université de Hannovre, Allemagne
Kjell Hansson Mild, Institut National de la Vie au Travail, Umea, Suède
Wilhelm Mosgoeller, Institut de Recherche sur le Cancer, Université de Vienne, Autriche
Elihu D. Richter, Unité de Médecine du Travail et Environnementale, Université Hébraïque Hadassah, Jerusalem, Israël
Umberto Scapagnini, Neuropharmacologie, Université de Catania, Italie, Député Européen.
Stanislaw Szmigielski, Institut Militaire d’Hygiène et d’Epidémiologie, Varsovie, Pologne.

0
    0
    Votre panier
    Votre panier est videBoutique
      Calculate Shipping