Notre expérience professionnelle
Notre expérience quant à la protection contre la pollution électromagnétique
Pendant des années nous avons collaboré avec le Prof. Roger Santini (INSA Villeurbanne), aujourd’hui décédé. Mais aussi avec le Prof. Pierre Le Ruz (Rennes, ex expert de la Société Française de Radioprotection, ancien chercheur attaché aux études biologiques des systèmes radar à l’Armée Française), Jean-Marie Danze biophysicien. Nous avons effectués des mesures sur sites d’antennes relais à la demande des riverains et des collectivités avec des appareils étalonnés (Chauvin Arnoux CA43).
Force est de constater que certaines personnes se plaignent de symptômes divers repris dans l’étude de Lilienfeld sur le « syndrome des micro-ondes ». Nous trouvons en outre des signes d’hypertension, des symptômes épileptiformes, des troubles de l’équilibre avec chutes fréquentes ainsi que des maux de tête et des perturbations du système vague.
Et, malgré des examens médicaux approfondis, aucune cause biologique ou biochimique apparente ne se révèle. Et toutes les médications sont inopérantes. Lorsque ces personnes quittent leur maison pour se rendre chez une personne habitant dans une zone moins exposée, les symptômes disparaissent après 48 à 74 heures.
Sur des sites où ces symptômes sont observés, nous ne mesurons jamais plus de 0,1 µW/cm² en densité de puissance pour la bande de fréquences de 100 kHz à 2.500 MHz. Cette situation va en s’amplifiant de zone en zone avec l’implantation de nouvelles antennes relais.
Nous avons pu observer dans une entreprise de la région bruxelloise un effet de fonte locale au niveau des cuisses, des tissus lipidiques (lipoatrophie semi-circulaire). Ceci à cause de l’effet conjoint du rayonnement du champ électrique et du signal à haute fréquence des bus d’ordinateurs. Cet effet est reproductible sur plus de 1.000 personnes en Europe.
Nous avons pu pallier à ce problème en blindant les câbles 220 V et les câbles d’interconnexions des ordinateurs. Mais nous n’avons pas l’explication biologique du phénomène. Le médecin du travail de la firme qui a fait appel à nos services voulait y trouver remède immédiatement car il craignait que cet effet apparent puisse à plus ou moins long terme causer des lésions irréversibles.
Nous constatons ici encore que nous ne connaissons rien des effets de synergie entre les champs ELF (50 Hz) et les champs à hautes fréquences (GSM).
Le principe de précaution s’impose…