Pourquoi ne voyez-vous pas de différence systématiquement en ce qui concerne la réception des ondes Wi-Fi ou des antennes de téléphonique mobiles avec un blindage anti-ondes ?
Un smartphone ou un ordinateur pour mesurer la réduction des ondes ?
Le piège du profane !
Par Benoît Louppe, expert en bio-environnement électromagnétique Directeur du bureau Etudes & Vie
Introduction
Souvent, nous sommes contactés pour justifier l’efficacité des produits qui forment un écran contre les hautes fréquences dans un lieu.
Il est fréquent qu’après avoir utilisé de la peinture stop ondes ou anti-ondes à base de carbone, un baldaquin anti-ondes contre les hautes fréquences, un rideau écran composé de fils en métal aux fenêtres ou encore un vêtement ou sous-vêtement de protection vous ne voyez pas de réduction des « barres de réception » sur l’écran de votre ordinateur ou smartphone. En effet, assez souvent après vérification, vous captez toujours les ondes Wi-Fi de vos voisins ou les ondes des antennes de téléphonie mobile.
Il y a plusieurs aspects et réponses à donner pour comprendre les raisons à cela. En effet, cette question est récurrente lorsque des profanes et parfois même des professionnels débutants ont investis dans un système réputé pour arrêter les ondes électromagnétiques de hautes fréquences (hyperfréquences ou micro-ondes). Quelle n’est pas leur déception lorsqu’ils s’engouffrent sous un baldaquin anti-ondes à peine installé et qu’ils captent pratiquement encore la même quantité d’ondes d’un opérateur de téléphonie mobile ou les ondes Wi-Fi des voisins ! Vous avez certainement rencontré ce type de situation si vous avez procédé vous-même à ce type de tests avant et après la pose d’un dispositif destiné à de réduire votre exposition. Comment cela peut-il s’expliquer ? Est-ce la preuve d’une arnaque ou cela constitue un piège chez les profanes?
Un ordinateur portable ou un smartphone ne sont pas des instruments de mesure scientifiques
Tout d’abord ayez bien à l’esprit qu’un ordinateur portable ou un smartphone n’est pas un instrument de mesure scientifique digne de ce nom ! En effet, trouveriez-vous normal de mesurer le poids d’une alliance avec une balance à camion ? Avouez qu’il y a plus précis comme une petite balance qui mesure au gramme près. La comparaison est identique ! Pensez-vous réellement que vos appareils électroniques de télécommunication possèdent une précision suffisante et assez d’échelles de sensibilités comparées à un instrument de mesure des hautes fréquences ? Un appareil de mesure des hautes fréquences ou radiofréquences (ex : Gigahertz-Solutions, Narda, Cemprotec 34, Le Cornet ED88TPlus 5G…) possède en général plusieurs échelles de sensibilité, un étalonnage en laboratoire et une antenne dont la conception permet de mesurer ces ondes avec précision. En aucun cas, un ordinateur portable ou un smartphone ne possèdent ces qualités. A un autre niveau n’utilisez pas non plus des applications pour smartphones ou des appareils de mesure des ondes électromagnétiques de quelques dizaines d’Euros. Il s’agit le plus souvent de gadgets totalement peu fiables et peu précis ! Ne confiez pas votre santé à ses systèmes qui révèlent de fausses informations ou fournissent des mesures totalement erronées. N’achetez pas un truc à bas prix !
La seule qualité que possèdent les smartphones en fin de compte c’est une extrême sensibilité pour trouver le moindre chouïa de réseau Wi-Fi ou d’une station de base d’antenne de téléphonie mobile. Cette sensibilité est même souvent en dessous des instruments de mesure scientifiques sauf dans le cas de certains analyseurs de spectre très professionnels (Narda) tout simplement parce qu’ils doivent fonctionner à des niveaux aussi bas que 0.000.001 V/m voire 0.000.000.001(millionième de V/m et même milliardième de V/m) pour capter les ondes d’un routeur s’il s’agit du Wi-Fi ou d’une antenne de télécoms s’il s’agit d’un smartphone par exemple.
Kit MK70-3D Profi + 2.2 de Gigahertz-Solutions Analyseur de spectre Narda SRM-3006
La réception de la puissance d’un smartphone
Pour mieux comprendre, sachez qu’en télécommunication, c’est la réception de la puissance ou la force d’un signal qui détermine le nombre de barres affichées sur un smartphone au réseau de téléphonie mobile est extrêmement basse et se mesure dans une échelle logarithmique exprimée en dBm = décibels par milliwatt de puissance [1]. Elle varie en fonction de différents facteurs, tels que la proximité de la station émettrice, les obstacles comme des bâtiments (murs, cage d’ascenseur), des arbres ou la topographie du lieu. Elle se situe typiquement entre -70 dBm (bon) et -110 dBm (mauvais) mais varie suivant les appareils et modèles utilisés parfois avec des écarts pouvant aller de -30 et -140 dBm. C’est elle qui donne une idée du niveau de signal disponible. Il est possible de retrouver ces informations sur un smartphone en tapant une série de codes.
Cela est connu sous l’appellation de RSSI (Received Signal Strength Indication) ou « indication de la force du signal reçu ». Il varie en fonction des technologies radio. C’est une mesure du niveau de puissance en réception d’un signal issu d’une antenne (classiquement un signal radio). Son utilité est de fournir une indication sur l’intensité du signal reçu. Il existe aussi la mesure de la « référence de la qualité du signal reçu » ou « référence de la puissance du signal reçu» respectivement en anglais RSRQ (Reference Signal Received Quality) et aussi le RSRP (Reference Signal Received Power). C’est tout cela qui détermine le nombre de barres de réception à l’écran de vos appareils.
Ceci étant, il est à faire remarquer que dans certains cas, même si l’analyse est grossière, vous pouvez effectivement observer une réduction du nombre de « barres de réception du réseau » à l’écran d’un ordinateur ou d’un smartphone mais pas systématiquement. En effet, si vous êtes à plusieurs centaines de mètres ou kilomètres (plus rare) d’une station de base de téléphonie mobile par exemple, forcément la réception de votre smartphone est déjà moindre que si vous étiez en face d’une antennes à moins de 300 mètres. Forcément dans un cas pareil, le fait d’ajouter un matériaux écran entre votre appareil et les antennes va réduire la réception de votre smartphone et vous faire perdre une, deux voir plus de barres de réception. Ceci est comparable avec un ordinateur et la réception des Box Wi-Fi des voisins. Si vous êtes assez éloigné, sous le matériaux écran, vous perdrez en réception. Dans le cas contraire, vous n’aurez pas assez de nuances avec seulement quelques barres affichées à l’écran pour mesurer la réduction de votre exposition aux ondes. Il vous faudra un instrument de mesure ou un détecteur fiable ou encore faire appel à un professionnel bien équipé qui pourra vous prouver l’efficacité du produit écran de manière irréfutable.
Évidemment certains tissus comme le tulle d’argent ou silver tulle qui possèdent des propriétés écran jusqu’à +- 50 dB peuvent arrêter très fortement les ondes et les observations de réduction de réception des ondes par la disparition progressives du nombre de barres de réception seront plus impressionnantes. Au-delà de 60 dB jusque 90 voire 100 dB d’atténuation, certaines toiles isolantes en films métalliques (cuivre, nickel etc..) vont avoir des propriétés qui empêcheront toutes communications sans fils de fonctionner. Ces matériaux sont ceux qui sont privilégiés pour blinder les locaux militaires afin d’éviter le vol des données des conversations jugées comme secret défense. Il est à noter que sous un couche épaisse de béton ou sous terre la transmission des communications sans fils est aussi très compliquées voire impossible.
La surface à protéger
N’oubliez pas que la réduction des ondes est proportionnelles à la surface protégée. Si les ondes passent ne fut-ce qu’un tout petit peu par une fente sous un baldaquin ou sans protection du sol avec un tapis écran en coton et acier ou un tissu ADR TEX par exemple, une porte dans une pièce qui est peinte, le sol ou une fenêtre à un étage supérieur (là où les ondes sont plus intenses), le résultant ne sera que partiel ! « L’illumination » des pièces par les ondes électromagnétiques de hautes fréquences est souvent plus grande que la taille de la pièce voire de la maison elle-même et se fait à 360°! Ceci démontre bien qu’un blindage partiel ne sera jamais très efficace. Les ondes ne rentrent pas par un seul côté même si à priori vous mesurez l’impact de ces ondes sur un mur en particulier qui crée l’apparition d’un ou plusieurs « points chauds » d’ondes. Il faut faire attention qu’elles peuvent passer aussi au pourtour du matériaux et encore rayonner certes moins fort mais tout de même un peu dans la pièce à protéger.
Il est à signaler aussi que la mise à la terre de ces produits n’est nécessaire que s’il est conducteur en surface ex : tissu en tulle d’argent, tissu en fibre d’acier ou peinture au carbone. Et ceci uniquement pour des raisons de sécurité et pour éliminer les champs électriques de basse fréquences 50 Hz présents parfois dans la pièce à protéger. Une résistivité de terre de moins de 10 ohms ou moins encore est conseillée. La mise à la terre n’est efficace pour absorber les hautes fréquences car il faut une terre proche de 1 ohm de résistivité (avec une impédance) ce qui reste difficile à obtenir techniquement parlant.
Kit de mise la terre Yshield pour les tapis ou baldaquins conducteurs
Le piège du test avec un détecteur d’ondes situé trop près de la source
Un autre test même avec un détecteur d’ondes électromagnétiques peut parfois poser problème. Beaucoup de personnes placent leur appareil de mesure en sandwich dans un échantillon de tissu écran pour vérifier son efficacité en terme de réduction des ondes de hautes fréquences. La plupart des tissus écran atténuent entre 20 et 40 dB, sauf le tulle d’argent qui monte jusque 50 dB. Si vous posez votre émetteur (DECT, smartphone, routeur..) trop près du tissu à quelques dizaines de centimètres ou plus près, le signal est tellement puissant qu’il peut encore passer partiellement à travers les fibres. Les voiles ou tissus sont en général utilisés pour réduire l’exposition dans le « bruit de fond » des ondes électromagnétiques produites par les antennes environnantes ou les émetteurs Wi-Fi des voisins ou les stations de base DECT. C’est à dire à plusieurs mètre, dizaines ou centaines de mètres e distance. Si l’émetteur est situé juste à côté de la zone de test, il est tellement puissant qu’un tissu même écran entre 20 et 40 dB suivant les bandes de fréquences comme le « voile écran pro » ou un « Swiss-Shield » ou un autre tissu écran d’usage répandu, une partie des fréquences passeront encore partiellement puisque l’émetteur est situé juste à côté. Ce n’est pas représentatif de la réalité. Dans ce cas, pour des expositions extrêmes seul le tulle d’argent sera toujours plus efficace mais le but premier est de réduire l’exposition d’un certain facteur d’atténuation biologiquement acceptable (par exemple en dessous de 10 µW/m2 = 0,061 V/m), pas de produire une suppression totale sauf pour des cas extrêmes d’EHS bien entendu. Une atténuation supplémentaire de 10 dB peuvent faire la différence dans certain cas pour les personnes les plus sensibles! Par contre, le tulle d’argent est nettement plus fragile mécaniquement parlant. Il noircit au lavage et il perdra plus vite ses propriétés écran aussi avec le nombre de lavage. Enfin puisqu’il est conducteur en surface contrairement aux autres tissus en coton ou polyester, il doit-être relié à la terre pour les sécurité et l’élimination des basses fréquences électriques.
En ce qui concerne l’atténuation des autres tissus traditionnels, elle est généralement suffisante lorsque les émetteurs sont à plusieurs mètres ou centaines de mètres (routeur, DECT ), comme c’est le cas avec les antennes extérieures. C’est cela généralement la réalité de l’exposition aux ondes, on est rarement voire jamais à quelques dizaines de cm d’un émetteur dans une chambre à coucher!
Ceci explique cela! Conclusion, prenez garde à toujours mesurer dans la réalité au pied d’une antenne ou à 3 m d’un routeur minimum et les résultats seront tout à fait conforme à vos attentes. Votre voile écran vous semblera soudainement plus efficace !
La mesure de la réduction de puissance
Enfin de compte, les matériaux qui consistent à réduire votre exposition aux ondes : peintures au carbone, tissus composés de fibres métalliques, rideaux, vêtements high-tech, films ou toiles métallisées possèdent un certain niveau d’atténuationdes hautes fréquences spécifique. Comme déjà signalé, le public confond aisément réduire la pénétration des ondes d’un certain facteur de puissance exprimé en dB (décibel) avec la suppression totale à 100% pure et simple. Il ne comprends pas ou n’a pas connaissance de ce qui suit.
Interprétation de l’atténuation exprimée en dB de puissance
-10 dB = 10 X -20 dB = 100 X -30 dB = 1000 X -40 dB = 10.000 X -50 dB = 100.000 X
Exemple pour le tulle d’argent :
Application
Fréquence (MHz)
Décibel (dB)
Pourcentage (%)
Tetra 450
450MHz
-45dB
>99,99%
LTE 800
800MHz
-45dB
>99,99%
GSM 900
900MHz
-45dB
>99,99%
GSM 1800
1800MHz
-48dB
>99,99%
DECT 1800
1800MHz
-48dB
>99,99%
UMTS 2000
2000MHz
-47dB
>99,99%
WLAN 2400
2400MHz
-48dB
>99,99%
LTE 2600
2600MHz
-47dB
>99,99%
WLAN 5800
5800MHz
-46dB
>99,99%
Tests réglementaires menés sur les produits
Les tests indépendants sur ces produits les plus sérieux sont généralement effectués par l’expertise du professeur dipl. Ing. Peter Paulide l’Université des forces armées allemandes de Munich [2]. Certains fabricants s’auto-certifient avec certes du matériel de mesure comparable mais l’avis d’un laboratoire indépendant est toujours préférable pour l’impartialité et l’indépendance commerciale. Les normes pour mesurer l’efficacité d’un blindage en chambre anéchoïque [3] sont déterminées selon les standard suivants : IEEE Std 299™-2006 ou ASTM D4935-10. Autrement dit, la mise sur le marché de ces produits ne peut se faire en dépit du bon sens !
Chambre anéchoïque
Mise en garde : il est absolument indispensable de bien vérifier ce qui est indiqué dans les différents sites de vente en ligne sur internet au sujet du blindage des produits proposés. Déjà il est préférable que les tests aient bien été fait par un laboratoire indépendant et non par la société qui propose les produits. Le laboratoire indépendant lui teste les produits selon la norme IEEE Std 299™-2006 ou ASTM D4935-10. Ne pas se fier à la conformité des tests indiqués lorsqu’il y a marqué ” tests menés selon des références conformes ou proches aux normes IEEE Std 299™-2006 ou ASTM D4935-10 “. Cela ne veut absolument rien dire ou tout au plus que ces tests ne correspondent pas à la norme.
Pour les tissus, soyez toujours sceptiques lorsque l’on vous indique des valeurs de blindage allant jusqu’à 40 GHz ! Pour la peinture au carbone, il faut préciser que le nombre de couches correspondants aux valeurs indiquées d’atténuation en dB ne suffit pas. Ce qui est important c’est que le poids sec de peinture employé par couche lors de la pose soit bien respecté ! Par exemple, si vous faites un calcul de surface à peindre de deux ou trois couches de peinture pour obtenir le maximum d’atténuation possible, si la peinture s’étend très bien et que l’absorption du matériaux est plus ou moins forte, vous placerez plus ou moins de peinture. Retenez bien qu’il faut dans tous les cas, que la quantité conseillée soit posée ! S’il vous reste un pot de peinture à la fin et que vous avez prévu de placer deux ou trois couches, vous devez absolument placer le contenu de la peinture restante pour obtenir le poids sec de peinture nécessaire au mur. C’est cela qui formera un écran efficace entre vous et les sources de rayonnements électromagnétiques.
Cage de faraday et blindages, les mots qui font peur !
A un autre niveau, le mot cage de Faraday ou blindage fait frémir de peur parfois certaines personnes voire certains professionnel de la santé ou de l’habitat sain. Ils confondent le fait de réduire les hautes fréquences artificielles potentiellement nuisibles avec la suppression des champs naturels de la Terre ou du cosmos. C’est vraiment une croyance qu’il faut démystifier. Ces matériaux n’altèrent en aucun cas les champs naturels. Au contraire, le fait de ne pas se protéger des hautes fréquences est dans la majorité des certains cas plus dommageable pour les personnes qui restent exposées que de craindre de manière irrationnelle de perdre des énergies bénéfiques issues de la terre ou de l’espace ! Nous entendons souvent que certains géobiologues mal informés des aspects physiques des hyperfréquences qui ne mesurent pas réellement les ondes électromagnétiques font cet amalgame ou ce raccourci un peu rapide et donnent de mauvaises informations à leurs clients.
Ce n’est pas étonnant ! Oui, beaucoup de personnes mal informées penses que le simple mot « blindage » ou « protection HF » désignent une suppression totale des ondes. Non, il faut bien nuancer la chose et expliquer qu’il s’agit d’une réduction d’un certain facteur de puissance qui est retenu par le matériaux lui-même. Ce facteur de puissance exprimé en dB est renseigné (ou devrait l’être) par le fabricant ou le vendeur sur la fiche technique du produit. De plus, ce facteur de puissance « freiné » en quelque sorte varie en fonction des gammes de fréquences dans la bande des MHz et des GHz. Le seule solution pour supprimer à 100% les ondes est de rentrer dans une armure en métal, un scaphandre ou rénover sa chambre à, coucher avec des tôles en métal sur toutes les faces ! Cela ne serait pas pratique et relève de l’utopie !
Par exemple, certains tissus en polyester ou en coton tricotés avec des fibres métalliques (généralement, du cuivre, de l’argent ou de l’acier) atténuent les hautes fréquences de +- 20 à 40 dB suivant la gamme de fréquences. Forcément, à 2,4 GHz pour les ondes Wi-Fi, l’atténuation est moindre qu’à 950 MHz pour les antennes 2G. Ceci s’explique par le fait que les longueurs d’ondes sont de plus en plus petites en montant dans les gammes de fréquences et finissent par passer à travers les fibres des tissus. Au-delà de 10 GHz les tissus perdent presque tous leurs propriétés écran contre les hautes fréquences. Certains tissus plus denses ou en tulle d’argent peuvent fonctionner jusque 20 GHz mais ils sont relativement rares ou alors, il faut superposer plusieurs couches.
De plus, la plupart des test menés en laboratoires avec des analyseurs de spectre et des générateurs de radiofréquences réputés en chambre anéchoïque n’effectuent généralement plus de test au-delà de 18 GHz. Il faut signaler que les peintures au carbones sont encore efficaces jusque 40 GHz, mais ce cas est bien un des rares que l’on peut citer.
Ceci dit, l’exposition aux ondes de hautes fréquences émises par les antennes et les technologies sans fils les plus répandues dans les habitations sont généralement existantes pour des fréquences de 27 MHz jusque 6 GHz et plus rarement au-delà même pour les antennes terrestres de la 5G ! Les antennes satellites de la 5G ne savent pas pénétrer dans une habitation !
Et pour la 5G, efficace aussi ?
Il est important de signaler au public que les produits anti-ondes réellement efficaces qui fonctionnent pour réduire les ondes Wi-Fi, les rayonnements des téléphones sans fils DECT, des antennes 2G, 3G, 4G fonctionnent aussi pour la 5G.
Une société commerciale sans scrupules peut toujours vous faire croire que son produit est spécialement conçu pour arrêter les ondes de la 5G. Il n’en est rien !
Les produits de protection les plus réputés existants sur le marché depuis le début des années 2000 fonctionnent tout aussi bien. On a pas réinventé le fil à couper le beurre ! Les aspects physiques des ondes restent ce qu’ils sont et il n’y a pas de miracle dans ce domaine. Il existe juste des méthodes connues et éprouvées depuis des années pour se protéger et des instruments fiables pour mesurer avant et après la pose la réduction de l’exposition.
[1] Le dBm est une abréviation du rapport de puissance en décibels (dB) entre la puissance mesurée et un milliwatt (mW). [2] Source : https://www.unibw.de/etti5/prof-dipl-ing-peter-pauli. [3] Une chambre anéchoïque est une chambre installée dans un laboratoire dont les parois en forme de cônes absorbent les ondes électromagnétiques (aussi utilisée en acoustique) permettant de mesurer dans des conditions de champs libres sans perturber les mesures par des réverbérations ou réflexions sur les parois. crédits photos:
https://www.wikihow.com/Improve-Cell-Phone-Reception
https://cuminglehman.com/
Dans le monde entier, depuis les années 2000, des centaines de scientifiques, experts en la matière, et des médecins, confrontés à la réalité de terrain, alertent les autorités sanitaires nationales et mondiales sur les dangers à court, moyen et long terme de l’exposition aux rayonnements des technologies sans fil.
Face à l’évidence grandissante des risques et dommages sanitaires liés à l’exposition aux rayonnements non ionisants des technologies sans fil, les déclarations, mises en garde et appels médicaux et scientifiques se succèdent dans le monde entier.
Les scientifiques et médecins demandent:
l’application du principe de précaution
l’application du principe ALARA (aussi bas que raisonnablement possible),
une réduction des niveaux d’exposition,
des normes réellement protectrices,
l’arrêt du déploiement de la 5G, une technologie qui suscite de très sérieuses inquiétudes.
« Il existe suffisamment de preuves des effets nocifs des rayonnements de radiofréquences pour les êtres humains et l’environnement. Le déploiement de la 5G revient à mener des expériences sur les êtres humains et l’environnement, ce qui est considéré comme un crime en vertu du droit international. » Appel EMF scientist, 2015
« Afin de protéger le public et l’environnement des effets néfastes connus des champs électromagnétiques, certaines associations demandent aux Nations Unies, à l’OMS et à tous les gouvernements de ne pas accepter les lignes directrices de l’ICNIRP. Celles-ci ne sont pas protectrices, mais induisent plutôt un risque grave pour la santé humaine et l’environnement, puisqu’elles autorisent une exposition nocive de la population mondiale, y compris les plus vulnérables, sous le prétexte non scientifique qu’elles seraient “protectrices” » EMF call, 2017
2019 : 5G Space Appeal, Appel international à l’ONU, à l’OMS, à l’UE, au Conseil de l’Europe et aux gouvernements de tous les pays, demandant urgemment l’arrêt du déploiement de la 5G sur Terre et dans l’espace [texte de l’appel FR, NL, EN]
2018 (oct) : EMF Call, Appel scientifique international à l’ONU, à l’OMS et aux gouvernements de tous les pays demandant des valeurs limites d’exposition réellement protectrices [texte FR, EN]
2017 (nov) : Déclaration de Nicosie demandant une révision des valeurs limites d’exposition et une meilleure formation du corps médical aux effets biologiques des rayonnements électromagnétiques [Texte de la déclaration EN]
2017 (sept) : Appel scientifique international “EU 5G Appeal”, signé par 268 scientifiques (au 1/1/2020) demandant à l’Union européenne un moratoire sur le déploiement de la 5G [texte FR]
2017 (fév) : Appel de Reykjavik sur les technologies sans fil dans les écoles [texte de l’appel FR, EN]
2015 : Déclaration scientifique internationale de Bruxelles (réitération de l’Appel de Paris) sur l’électrohypersensibilité et la sensibilité aux produits chimiques multiples [texte FR, EN]
2015 : Appel scientifique international ‘EMF Scientist’, signé par 252 scientifiques (au 1/1/2020), demande une protection plus efficace des humains, de la faune et de la flore [texte de l’appel FR, EN]
2012 (juil) : Mise en garde de l’Académie Américaine de Pédiatrie au sujet de l’impact des champs électromagnétiques sur les enfants et du WiFi dans les écoles [texte EN]
2012 (nov) : Appel médical international (2ème appel de Fribourg) demandant une diminution des normes et de la puissance des rayonnements émis par la téléphonie mobile [texte EN]
2012 (jan) : Déclaration de l’Académie américaine de médecine environnementale concernant les compteurs communicants (smart meters) [texte EN]
2011 (mai) : Résolution 1815 de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe [texte FR, EN]
2011 (avr) : Résolution du comité national russe (RNCNIRP) sur la protection des enfants et des adolescents contre les rayonnements non ionisants [texte FR, EN]
Les purificateurs d’air agissent-ils contre les virus ? En particulier le coronavirus ?
En décembre 2019, un virus respiratoire de la famille des Coronavirus est apparu dans la région de Wuhanen Chine et s’est depuis propagé sur tous les continents. Les Coronavirus sont une vaste famille de virus provoquant des maladies pouvant aller d’un simple rhume (plusieurs virus saisonniers sont des Coronavirus) vers des pathologies plus sévères comme le MERS-COV ou le SRAS. Le nouveau Coronavirus identifié en janvier 2020 a été appelé COVID-19 par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).
Face aux inquiétudes grandissantes des familles autour de la question du Corona virus (COVID-19), nous avons pensé que nous pourrions judicieusement vous conseiller par rapport à votre habitation ou votre lieu de travail.
De fausses informations ont envahi les réseaux sociaux, des bilans exagérés, de prétendus remèdes miracles… Autant de «fake news» qui alimentent les craintes de la population.
Une certitude pour le moment, le virus se transmet via des gouttelettes respiratoires expulsées par le nez ou par la bouche lorsqu’une personne éternue ou tousse. La COVID-19 peut survivre sur des surfaces inertes pendant quelques heures. En touchant les yeux, la bouche ou le nez, il est possible d’être contaminé. La durée de vie du virus en dehors d’un organisme vivant est quant à elle estimée entre trois heures (en milieu sec) et trois jours (en milieu humide). Son pouvoir infectieux disparaît en quelques heures selon le Dr Manuel Schibler, infectiologue et virologue, au Centre Universitaire de Genève.
Si vous devez finalement rester chez vous ou que vos enfants doivent éviter d’aller à l’école, le mieux est encre de renforcer votre immunité et de respirer un air sain!
Nous constatons que la demande en ioniseurs d’air TEQOYA n’a jamais été autant sollicitée chez nous.
L’action virucide et bactéricide des ioniseurs performants est connue depuis des décennies.
A cela s’ajoute le fait que plusieurs professionnels de la santé compétents peuvent vous donner les premiers gestes à adopter ainsi que les huiles essentielles à utiliser ou compléments alimentaires.
Prévention naturelle
Par exemple, l’huile essentielle de Ravintsara (Cinnamomum camphora) est un puissant anti-viral, immunostimulante et anti-bactérienne.On peut citer aussi celles-ci:
Cinnanomum verum (cannelle de Ceylan écorce)
Citrus limonum (citron)
Eucalyptus radiata (eucalyptus radié) pour les voies respiratoires
Tea Tree (Melaleuca alternifolia)
Marjolaine à coquilles (Origanum majorana)
On peut citer aussi l’échinacée, la propolis et la vitamine C d’Acerola qui possèdent un effet préventif sur l’incidence des infections des voies respiratoires et le système immunitaire. Aussi l’extrait de pépin de pamplemousse pour favoriser la résistance et soutenir les défenses de votre organisme (action plutôt anti-oxydante et anti-bactérienne).
Demandez les conseils auprès de votre pharmacien ou d’un aromatologue compétent.
Les purificateurs d’air TEQOYA peuvent-ils être efficaces sur d’aussi petites particules ?
La réponse est: oui, avec certitude!
Comme pour toutes les technologies de purification de l’air, un facteur important à prendre en compte pour juger de l’efficacité de capture d’un aérosol, quelque soit la nature est sa taille.
Petit rappel sur les différences de taille entre bactéries et virus : les bactéries mesurent pour la plupart de 1 à 10 micromètres (écrit µm – 1 à 10 millièmes de millimètre) alors que les virus ont en moyenne une taille de 10 à 400 nanomètres, 10 à 100 fois plus petit ! Ces agents pathogènes sont 100 à 10 000 fois plus petits qu’un grain de sable !
Ils ont été testés sur une large plage de tailles de particules, descendant jusqu’à 7 nanomètres, et également sur des bactéries. Les résultats montrent une élimination très nette des bactéries de l’air, avec un taux d’efficacité d’environ 90% :
Observez la zone rouge occupée par la taille des virus sur l’image ci-dessus. La taille du Corona virus est de 0,10 à 0,15 micromètres (100 à 150 nanomètres), d’après une étude publiée dans la revue scientifique médicale britannique ” The Lancet “. La taille du virus est proche de la médiane des tailles de particules pour lesquels les purificateurs d’air TEQOYA 200 et 450 ont été le plus souvent testé avec une efficacité similaire à celle constatée pour les particules de la taille d’une bactérie.Il n’y a donc pas de doute sur la faculté des purificateurs d’air à réduire la concentration en COVID-19 dans l’air, avec un niveau de performance proche de ceux mesurés sur les bactéries. Il est raisonnable de penser que cette baisse de concentration permet de réduire la probabilité de transmission entre personnes. Néanmoins il est important de noter que cela ne supprime pas le risque de transmission, en particulier dans un espace dont le taux d’occupation est élevé, ou entre personnes se tenant à proximité l’une de l’autre.
Les aérosols, voie majeure de transmission de COVID-19, et autres virus
Les virus et les bactéries ont des voies de transmissions similaires, ils pénètrent dans l’organisme par le contact cutané, par la nourriture que nous ingérons mais aussi, et aussi, comme il est maintenant bien connu, par l’air que nous respirons.
Voie aérienne par les aérosols: la transmission se fait par des micro-gouttelettes de taille nanométrique ou micrométrique flottant dans l’air, d’où le nom d’aérosol. Nous émettons ces aérosols lorsque nous parlons et respirons, bref en permanence ! Ils peuvent transporter les charges virales de personnes infectées pendant plusieurs heures et à plusieurs mètres, selon l’environnement, l’humidité ambiante, la température, le brassage de l’air, etc. Cette voie de transmission est désormais reconnue comme une voie majeure de transmission pour certains virus, tels que les coronavirus.
Gouttelettes : lorsqu’une personne tousse ou postillonne en parlant, des gouttelettes de grosse taille (“postillons”) sont expectorées dans l’air mais y restent peu de temps. Ces gouttelettes peuvent être une voie de transmission de virus directe pour les personnes dans le voisinage immédiat de celui qui les émet. Les virus peuvent aussi se déposer sur des surfaces puis être transmis par voie de contact cutané. La main touche une surface contaminée puis est portée au visage. Cette voie de transmission est donc hybride entre la voie aérienne ci-dessus, et la voie de contact ci-dessous.
Voie de contact: la transmission infectieuse se fait par voie cutanée ou contact rapproché. Le virus peut alors pénétrer l’organisme par la bouche si une main infectée est portée au visage par exemple, ou par le sang en cas de micro-lésions cutanées.
Comme pour les autres virus, la COVID-19 peut se transmettre par toutes ces voies, mais en particulier par les aérosols et la voie aérienne comme l’ont montré des mesures effectuées dans un hôpital de la ville de Wuhan en Chine. Ces mesures ont été publiées dans article dans la prestigieuse revue scientifique Nature dès avril 20201. Une étude publiée dans Science2 indique que le COVID-19 peut rester pendant plusieurs heures en suspension dans l’air. En juin 2020, plus de 200 chercheurs de plus de 30 pays se sont unis pour alerter sur l’importance de la transmission de la COVID-19 par les aérosols.
L’OMS a décrit les mécanismes d’exposition aux gouttelettes de COVID-19 et SARSCoV-2 (couleur bleu foncé). La couleur bleu clair représente les mécanismes de suspension dans l’air connu du SRAS CoV -1 et autres grippes, pour le SRAS-CoV-2 il n’y a actuellement aucune preuve rapportée spécifiquement (source : AICVF, courtoisie Francesco Franchimon).
La transmission de COVID-19 par voie aérienne est désormais largement reconnue par les communautés scientifique et médicale. Les purificateurs d’air agissant sur les polluants présents dans l’air, peuvent-ils contribuer à réduire le risque de transmission de maladies ?
Les purificateurs d’air, efficaces contre les virus et COVID-19 ?
En préambule, notons que la première règle à appliquer en air intérieur est d’assurer un bon débit de ventilation : plus l’air d’un espace fermé est renouvelé rapidement, moins la concentration en virus diffusés par les occupants de l’espace sera élevée. Malheureusement il n’est pas toujours facile d’assurer un renouvellement d’air frais élevé, cela dépendant du système de ventilation du bâtiment, du bruit extérieur ou de la météo s’il faut ouvrir les fenêtres, etc. D’où l’intérêt des purificateurs d’air pour apporter un complément de sécurité.
En septembre, le Groupe de Travail sur les purificateurs d’air de l’association FIMEA (Fédération Interprofessionnelle des Métiers de l’Environnement Atmosphérique) a adressé aux pouvoir publics une lettre ouverte déclarant :
“(…) partout dans le monde, les professionnels de l’air, de la ventilation et de la climatisation ont souligné l’importance d’inclure le traitement de l’air intérieur dans la lutte contre le coronavirus. Ils ont fait part de recommandations sur ce point dans différents documents et rapports, toujours basés sur l’état actuel des connaissances. (…) Au regard de tous ces éléments, il semble qu’agir sur l’air intérieur en général soit un enjeu de santé publique et un facteur clé à prendre en compte dans la lutte contre le Covid-19. De fait l’utilisation d’appareils type épurateurs/purificateurs d’air apporte de réelles solutions de prévention.”
Le 12 septembre, la Région Auvergne-Rhône-Alpes a annoncé l’équipement d’établissements scolaires en purificateurs d’air, considérés comme “l’angle mort de la lutte contre le Covid-19 en France alors que de très nombreuses études prouvent que l’air est un vecteur de propagation.”
Dans la pratique, un purificateur d’air réduit la concentration moyenne en particules présents dans la pièce, y compris celle des aérosols émis par la parole et la respiration humaine, qui sont une forme parmi d’autres de particules. On peut donc considérer que le risque moyen de transmission de virus est réduit par les purificateurs d’air. Cependant, la réduction “moyenne” des aérosols n’est pas une garantie de non transmission de virus, et l’efficacité dépend grandement de la mise en oeuvre … Détaillons cela dans la suite !
Quelle technologie de purification de l’air utiliser pour éliminer les virus, et COVID-19 en particulier ?
Pour juger de l’efficacité de capture d’un aérosol par les technologies de purification de l’air, il faut prendre en compte la taille des particules en suspension dans l’air. Les bactéries mesurent pour la plupart de 1 à 10 micromètres (écrit µm – 1 à 10 millièmes de millimètre) alors que les virus ont en moyenne une taille de 10 à 400 nanomètres, soit 10 à 100 fois moins ! Ces agents pathogènes sont 100 à 10 000 fois plus petits qu’un grain de sable ! Selon une étude publiée dans la revue scientifique médicale britannique The Lancet Le COVID-19 a une taille relativement élevée pour un virus : 100-150 nm ce qui correspond à 0,1 – 0,15 micromètres.
Toutefois les virus ne voyagent pas “seuls” dans l’air, ils sont transportés par des micro-gouttelettes d’eau dont on estime couramment qu’elles ont une taille inférieure à 5 micromètres. Des mesures réalisées en hôpital dans la ville de Wuhan en Chine, publiée dans le journal Nature1, montrent un large spectre de taille d’aérosols, allant de quelques dizaines de nanomètres à plusieurs micromètres :
Les appareils à filtres “mécaniques” de type HEPA sont normalement capables de capturer les aérosols qui traversent le filtre. Toutefois ils ne peuvent évidemment pas capturer les aérosols de l’air qui ne traverse pas le filtre, un taux de renouvellement d’air important (minimum 1 volume par heure) est donc nécessaire pour obtenir une réduction significative. Or, le brassage d’air induit par le purificateur à filtre va induire des vitesses d’air dans la pièce qui pourraient, au contraire, accélérer le déplacement des aérosols porteurs de virus et ainsi éventuellement augmenter le risque de transmission. Il est donc très difficile de statuer sur l’efficacité réelle d’un tel dispositif sur la transmission de virus.
D’autres technologies reconnues comme biocides sont utilisées en remplacement ou complément des filtres : UVC, photocatalyse, ozone, plasma froid. Ces technologies présentent toutes des risques d’émission de polluants dits secondaires qui sont potentiellement nocifs pour la santé. On recommande leur utilisation dans des espaces inoccupés, ce qui rend douteuse leur utilité dans la lutte contre la transmission de virus …
Efficacité des purificateurs d’air TEQOYA sur les virus, dont le Covid-19
Au niveau niveau bactérien, le firme TEQOYA a testé auprès du Centre d’Essai de Microbiologie Industrielle de Guangzhou (Chine) la performance de ses purificateurs d’air sur la flore bactérienne. Les bactéries, collectées dans un échantillonneur à tamis à six étages, ont ensuite été mises en présence de l’appareil. Résultat : un taux d’élimination de 95% est atteint en 2h. Ioniseur Tequoya – Test au centre d’essais de microbiologie de Guangzhou (Chine)
Test sur la bactérie Klesbsiella Pneumoniae : bactérie responsable d’infections nosocomiales (infections contractées en milieu hospitalier) survenant notamment chez les plus fragiles : personnes âgées, diabétiques (Corée du Sud) Ioniseur Tequoya – Test sur la bactérie Klesbsiella Pneumoniae
Voici également un lien vers une étude menée en 2015 par l’Institut national américain pour l’information biologique moléculaire démontre également les bienfaits de la ionisation de l’air. L’ionisation de l’air affecte l’infectivité du virus de la grippe et empêche sa transmission par voie aérienne – Lien vers l’étude
Ces résultats ont été corroborés récemment concernant les virus, en utilisant un protocole de test innovant pour évaluer la réduction de charge virale d’un air infecté. Une réduction de 75% de la viralité d’aérosols infectés par le virus H1N1 de la grippe a ainsi été mesurée ! Une autre étude, publiée dans le journal Nature, montre la forte réduction de propagation d’un virus grâce à l’utilisation d’un ioniseur d’air3.
Nous disposons de plus de résultats montrant le rapide abattement de micro-gouttelettes d’eau qui sont le vecteur de transmission de virus par voie aérienne.
Mesure d’abattement d’aérosols au laboratoire de l’université de Rome Sapienza
Les tests de performance des appareils Teqoya montrent une efficacité sur les nanoparticules.
La technologie de ionisation de l’air de TEQOYA peut donc être utile pour réduire le risque de transmission d’infections par voie aérienne, au même titre qu’elle réduit la densité dans l’air de nombreuses particules (résidus de combustion, résidus minéraux, phase liquide de composés organiques semi-volatiles).
Les avantages complémentaires des ioniseurs d’air TEQOYA
Au-delà de leur faculté de dépollution, les ioniseurs d’air TEQOYA présentent d’autres avantages pratiques comparés aux autres technologies de purification de l’air, pour lutter contre la transmission de virus et de COVID en particulier. Quelques explications :
La ionisation augmente l’efficacité de filtration des masques. D’après une étude scientifique réalisée par des laboratoires américains et coréens (Lee, Byung & Yermakov, Mikhail & Grinshpun, Sergey. (2005). Aerosol and Air Quality Research), la ionisation de l’air augmente l’efficacité des masques. TEQOYA vient de réaliser un test en laboratoire indépendant, mesurant une réduction de 30% des particules traversant un masque chirurgical. Il existe donc une synergie entre masques et ioniseurs d’air permettant de réduire encore le risque de transmission d’infection.
Un purificateur d’air “classique” à filtre, par le brassage d’air qu’il induit par ventilateur, est susceptible d’accélérer les déplacements d’aérosols infectés et peut donc potentiellement augmenter le risque de transmission. L’OMS a notamment alerté sur l’utilisation de ventilateurs en pièce close dans le contexte de la Covid-19. Un ioniseur d’air sans ventilateur tel que ceux de TEQOYA, au contraire, n’encourage pas la mobilité des aérosols présents dans l’air.
Purificateur d’air “classique” à filtre
Purificateur d’air ioniseur TEQOYA
Tous ces éléments permettent de penser que l’utilisation de purificateurs d’air ioniseur peut être une solution complémentaire efficace aux gestes barrières recommandés par les autorités médicales, notamment le lavage de main régulier et le port de masque, pour réduire le risque de transmission, en particulier dans un espace dont le taux d’occupation est élevé, ou entre personnes se tenant à proximité l’une de l’autre.
Sources :
1Liu, Y., Ning, Z., Chen, Y. et al. Aerodynamic analysis of SARS-CoV-2 in two Wuhan hospitals. Nature 582, 557–560 (2020)
2Kimberly A. Prather, Linsey C. Marr et al. Airborne transmission of SARS-CoV-2. Science 16 Oct 2020: Vol. 370, Issue 6514, pp. 303-304
3Hagbom, M., Nordgren, J., Nybom, R. et al. Ionizing air affects influenza virus infectivity and prevents airborne-transmission. Sci Rep 5, 11431 (2015).
Les ioniseurs Teqoya
Issus d’une technologie brevetée (capsule de vent ionique), développée et améliorée pendant plus de 15 ans, les purificateurs ioniseurs d’air TEQOYA émettent sans ozone une très grande quantité d’ions négatifs qui rendent à l’air sa composition saine et naturelle.
Garantie 10 ans!Les purificateurs d’air TEQOYA recréent les conditions de création des ions négatifs des environnements les plus purs de la planète. Ces ions négatifs sont de véritables dépolluants naturels et, en purifiant l’air, profitent à notre santé.
Idéal pour les chambres, les bureaux, les grandes pièces, les classes scolaires, les espaces de vie où l’on passe du temps, les lieux de travail, les salles de réunion etc..
Le Teqoya 450
Un dispositif unique de génération d’ions négatifs.
Le Teqoya 450 est idéal pour les espaces de convivialité ou de réception, ou toute autre grande pièce où vous aimez vous détendre et passer du temps. Son design lui permet de s’intégrer dans tous les espaces de vie.
Surface : jusqu’à 50 m carré (30 m carré pour les milieux les plus pollués).
Un dispositif unique de génération d’ions négatifs.
Discret et silencieux, le Teqoya 200 est idéal dans une chambre ou dans un bureau. Totalement silencieux, il peut être posé sur la table de chevet près du lit pour bénéficier des bienfaits des ions négatifs pendant votre sommeil.
Surface : jusqu’à 30 m carré (15 m carré pour les milieux les plus pollués)
Beaucoup d’entre vous nous posent souvent les mêmes questions concernant les lunettes Prisma Bluelightprotect fabriquées par la société Innovative Eyewear (Allemagne) qui sont destinées à arrêter fortement la lumière bleue potentiellement nuisible pour l’œil.
Il faut savoir que pour arrêter correctement le spectre du bleu et du bleu-violet dont les longueurs d’ondes vont de 400 nm à 500 nm (nano mètre), il faut des lentilles colorées très particulières. C’est physiquement impossible et fortement déconseillé de faire autrement.
Si vous achetez des lunettes avec des lentilles non colorées c’est à dire transparentes, c’est déjà une preuve en soit qu’elles ne fonctionnent pas de manière optimale et que la protection est vraiment très limitée.
En effet, depuis de nombreuses années beaucoup de visiteurs se rendent à notre show-room avec des paires lunettes à faire mesurer. Les résultats sont sans appels: soit il n’y a pas de protection, soit elles filtrent trop faiblement et vous êtes nombreux à nous demander pourquoi dans ce cas, vos lunettes inefficaces sont commercialisés en toute impunité?
Il faut savoir que la lumière bleue est aussi composée de la lumière bleue violette qui elle favoriserait les risques de dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA).
C’est pourquoi face à cette constatation, nous avons accepté d’importer depuis 10 ans en partenariat exclusif avec la société Innovative Eyewear les lunettes Prisma car elles sont presque les seules sur le marché à répondre à cette demande et à posséder ces critères:
• Filtres performants Prisma LiTE 95 ou Prisma PRO 99
• Les lunettes existent aussi pour les enfants de 3 à 10 ans (filtre LiTE99)
• Les lunettes existent aussi pour les joueurs de jeux vidéo ou Gamer (filtre EASY 90)
• Choix de nombreuses montures et de “surlunettes” ou CLiP-ON
• Paramètres photobiologiques très performants
• Haute protection de la rétine et de la glande pinéale (hormone du sommeil)
• Utilisées activement par les personnes déjà atteintes de pathologies de l’œil (DMLA, glaucome…)
• Recommandées par certains employeurs de bureaux qui ont du personnel devant les écrans, les médecins du travail et certains opticiens indépendants.
• Validées par les meilleurs experts indépendants au monde en matière d’impact de la lumière bleue artificielle.
• Utilisées activement par les clubs de footballeurs professionnels dans le monde pour se protéger le soir des lumières produites par les éclairages à LED des terrains de foot.
• Utilisées activement par les sociétés qui proposent des protections aux travailleurs qui s’occupent de la maintenance des éclairages publics.
• Recommandées par plusieurs laboratoires de métrologie et de certification pour la protection des travailleurs devant écran à Led et les éclairages publics.
• Utilisés par les techniciens qui s’occupent de l’installation et des réglages des spots de salle de spectacle et de théâtres.
• Utilisées par les professionnels qui contrôlent et fabriquent les LED.
• Pour les versions DRiVES DAY and NiGHT, elles sont recommandées par certains concessionnaires d’automobiles.
Rencontre officielle en 2010 entre Benoît Louppe directeur du bureau Etudes & Vie
et Reinhard Gerl, directeur d’Innovative Eyewear (Allemagne)
Pourcentage de filtration des rétro-éclairages des écrans plats à LED (ordinateur, smartphone, tablette, TV…): 90 à 99%
Sans lunettes Prisma (le pic de bleu potentiellement nuisible est bien visible):
Avec lunettes Prisma et filtre LiTE 95 (disparition quasi totale du bleu et du violet 95%)
Avec lunettes Prisma et filtre PRO 99 (disparition quasi totale du bleu et du violet 99%)
Les lunettes Prisma arrêtent minium 90 % (Filtres EASY 90) et vont jusque 99% avec les modèles PRO: une sorte d’ambre foncé qui ressemble à l’orange mais qui n’en est pas.
Les modèles LiTE arrêtent entre 90 et 95 %: une sorte d’ambre clairqui ressemble à du jaune mais qui ne l’est pas. Attention, une lentilles teintées en jaune ou en orange n’arrête absolument pas dans la même proportion la lumière bleue que les lunettes Prisma!
Sans spectromètre étalonné, vous ne pouvez absolument pas le mesurer et bon nombre de firmes présentes sur le marché n’hésitent pas à coup d’arguments marketing de vous faire miroiter le contraire. Même sur des sites internet de ventes en lignes très connus, de nombreuses publicités mensongères circulent à ce sujet avec des spectres comparatifs absolument faux.
Sans être un spécialiste, les consommateurs sont victimes d’escroqueries en tout genre à ce propos! Les lunettes proposées sur le marché par de nombreuses firmes ne filtrent en réalité que de 10 à 60% ce qui n’est pas suffisant pour protéger l’œil. Il en va de la santé de votre œil et même de la protection contre le développement du cancer par la suppression de la sécrétion de la mélatonine la nuit!
Les lunettes transparentes n’arrêtent pas suffisamment la lumière bleue nuisible pour l’œil!
Selon les mesures scientifiques que nous avons réalisées au spectromètre et flickermètre de lumière étalonné MK350S Premium Advanced d’UPRtek, les lentilles transparentes à reflets violets proposées par les opticiens n’arrêtent qu’une infime partie du spectre de la lumière bleue (- de 10 à 20 % et encore!).
Lunettes anti-lumière bleue : des preuves truquées ?
Changement des couleurs des écrans
Effectivement, lorsque vous portez des lunettes Prisma de protection avec lentilles colorées Lite ou PRO, vous aurez le blanc qui sera un peu plus jaunâtre ou orangé suivant votre choix de niveau de protection souhaité.
Le bleu n’est plus reconnaissable facilement et c’est logique!
Mais avec les modèles avec filtre LiTE 95, c’est déjà mieux.
Pour regarder une tablette, la TV ou un smartphone, les filtres LiTE 95 sont plus agréables, surtout le soir car la transmission de la lumière est meilleure et l’œil doit moins forcer.
Nous déconseillons les filtres Pro le soir dans une lumière artificielle trop faible!
Pour un usage intensif surtout en journée devant un écran d’ordinateur, les filtres PRO 99 sont plus performants. Mais les LiTE 95 restent plus « versatiles » et altèrent moins les couleurs que les PRO 99 pour un usage varié d’écrans plats: TV, tablettes, smartphones.
Pourquoi les lentilles des lunettes Prisma possèdent une teinte jaunâtre ou orangée? Cette teinte est-elle indispensable?
L’expert photobiologiste Alexander Wunsch (*) (Allemagne) le dit en ces termes: “En tant qu’utilisateur, cette teinte est LA preuve,que vous êtes protégé contre la lumière bleue. De nombreuses sociétés prétendent que leurs lunettes à verres transparents ou légèrement jaunes protègent vos yeux contre la lumière bleue. Ne les croyez pas ! Ces verres ne vous protègent pas contre la lumière bleue. Ils ne réduisent que faiblement la protection contre l’exposition à la lumière bleue net ne protègent pas vos yeux à long terme.”
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(*) Dr. Alexander Wunsch Alexander Wunsch est médecin, chercheur et enseignant en médecine sur l’impact de la lumière et en photobiologie avec un intérêt particulier pour les effets de la lumière et les impacts bénéfiques/néfastes sur la santé du rayonnement solaire et des sources de lumière artificielle au niveaux endocriniens et cellulaires chez l’homme. Dans son cabinet médical situé à Heidelberg, il développe et applique des spectres de lumière thérapeutiques en combinaison avec d’autres traitements biophysiques. Il fait également des présentations lors de conférences internationales et agit en tant que consultant pour les autorités fédérales et l’industrie de l’éclairage.
Regardez pourquoi l’expert allemand Alexander Wunsch accepte de signer en son nom un certificat d’authenticité qui accompagne toutes les lunettes Prisma et uniquement cette marque dans le monde. Il reconnait par-là la qualité exceptionnelle et la protection de ces lunettes.
Rencontre avec le Dr. Alexander Wunsch en 2010 à Kassel (Allemagne)
Ne confondez pas les besoins en lumière bleue solaire d’origine naturelle et la lumière bleue artificielle produite par les ampoules économiques et les écrans plats!
• Premièrement, la lumière artificielle est la lumière visible générée par les sources lumineuses artificielles (écrans plats, ampoules économiques..) et ne contient généralement plus de rayons infrarouges proches très importants pour notre santé, contrairement à la lumière naturelle et les ampoules halogènes à filament. La plupart des LED ne contiennent pas non plus d’infrarouges lointains ce qui est un drame non seulement sur le plan énergétique et par le manque de chaleur et de calories dans les maisons mais aussi sur le plan du confort. A un autre niveau, la chaleur (infrarouge) n’est pas un déchet et l’on n’a pas sauvé la planète du réchauffement climatique en remplaçant les ampoules à filaments non toxiques par des ampoules économiques toxiques pour la santé et l’environnement. De plus, on dénombre souvent au moins une vingtaine de consommateurs permanents dans une maison, alors où est l’économie…? En gros, on s’est tous fait avoir en nous présentant la bénéfices uniquement sur le plan économique en nous vendant des ampoules très chères et polluantes qui rapportent des centaines de milliards de dollars depuis 2009 à l’industrie!
• Deuxièmement, la puissance de l’énergie de la lumière bleue produite par les LED est considérée comme une haute énergie visible (HEV) en comparaison avec celle produite par le spectre solaire (lumière naturelle). Autrement dit, elle est beaucoup plus intense.
• Troisièmement, notre œil est beaucoup trop proche des sources de lumières produites par les écrans plats (rétro-éclairage à LED) des tablettes, smartphones et ordinateurs. Souvent on les a vraiment “sous le nez”.
• Quatrièmement, à la lumière bleue s’ajoute la problématique du scintillement (effet stroboscopique) ou ‘flicker” en anglais de la lumière produite par les ampoules économiques ou des LED qui sont modulées par l’électricité ce qui irrite et stresse le système nerveux central. Cela n’est pas le cas avec la lumière naturelle d’origine solaire qui est émise en champ continu non modulé.
Pourquoi ne pas proposer un filtre à placer directement devant l’écran?
Ceci s’explique pour plusieurs raisons:
1° Ce n’est pas l’écran qu’il faut protéger mais l’œil! Les filtres anti reflets proposés sur le marché ne suppriment pas la lumière bleue!
2° L’altération des couleurs est encore plus forte et la transmission de la lumière diminuée ce qui oblige l’œil à forcer d’avantage et à être fatigué prématurément.
3° Lorsqu’il y a des lampes de bureau avec LED ou des ampoules économiques dans le local de travail, vous n’êtes plus correctement protégé.
4° Il y a trop de modèles et de conceptions d’écrans de tailles différentes et il serait irréaliste de penser qu’il est possible de prévoir des filtres adaptés à tous les modèles proposés sur le marché.
5° Les filtres jaunâtres utilisés dans les ordinateurs le soir pour réduire la lumière bleu sont très faiblement efficaces également car la technologie des Led en arrière-plan ne change pas et il n’y a rien de tel que de protéger les yeux avec des lunettes filtrantes efficaces.
Ceci explique cela.
Vous préférez conduire sans être ébloui par les phares au xénon ou à LED, travailler devant un écran d’ordinateur en toute sécurité, regarder la télévision, surfer sur votre smartphone le soir sans perturber l’hormone du sommeil et votre immunité?
Vous trouverez chez nous une gamme complète judicieusement étudiée
J’utilise des lunettes Prisma depuis 10 ans et cela a vraiment protégé mes yeux!
“Le plus simple témoignage en tant qu’utilisateur et consultant indépendant dans les ondes électromagnétiques est le miens. Je peux vous certifier que les Lunettes Prisma Bluelightprotect m’ont parfaitement aidé depuis plus de 10 ans. J’ai épargné à mes yeux jusqu’à présent les risques potentiels de développer des pathologies, de subir du stress oxydatif cellulaire et je n’ai jamais observé le moindre assèchement de la cornée ni de fatigue visuelle. Le contraste est amélioré et je pense qu’étant donné que je travaille plus de huit heures par jours devant un écran d’ordinateur, j’aurai certainement déjà abimé ma vue. Mon ophtalmologue me l’a confirmé!”
Ne laissez pas vos enfants faire partie des statistiques!
“Protégez les adolescents et les enfants en bas-âge dès maintenant car contrairement aux générations plus âgées, ils sont nés dans ces nouvelles pollutions environnementales et ignorent les conséquences dramatiques que cela peut avoir dans les dix ou vingt années d’exposition sur leur vue et leur qualité de vie! Même les professeurs dans les écoles soit par ignorance, soit sous la pression politique du respect des programmes de l’éducation nationale ou pour ne pas polémiquer n’appliquent pas le principe de précaution et laissent courir le risque à des enfants sur des tablettes et des projecteurs interactifs. Cette nouvelle mode dans les écoles contemporaines va abimer prématurément les yeux de nos enfants ! Et ici on ne parle même pas des ondes Wi-Fi !
Un bon conseil: n’écoutez pas les autres et n’attendez pas qu’il soit trop tard! Équipez vos enfants et adolescents de lunettes protectrices réellement efficaces dès maintenant!”
J’ai moi même équipé ma famille depuis des années et les enfants adoptent eux-mêmes le réflexe de les porter dès qu’ils sont devant les écrans. Ils emportent les lunettes Prisma partout avec eux dans leur cartable, à l’école et chez leurs amis.
Votre smartphone est toujours actif et émet des ondes même quand vous ne l’utilisez-pas pour téléphoner. Cette exposition insidieuse est souvent totalement méconnue des utilisateurs.
Comment s’en protéger ?
En évitant au maximum le contact direct de votre téléphone mobile avec votre corps :
-Ne le laissez pas dans vos poches (pantalons, chemises, etc)
-Posez-le près de vous si vous ne l’utilisez-pas plutôt que de le garder à la main
-Encore moins dans un soutien-gorge pour les jeunes femmes
-En privilégiant toujours en déplacement les sacs ou poches extérieurs des vestes et manteaux.
-En utilisant les commandes vocales pour lancer un appel ou une recherche.
En ne téléphonant jamais avec le mobile à l’oreille :
Et en préférant la fonction haut-parleur ou échange vidéo de votre smartphone Pour des conversations « confidentielles », utilisez un Kit main libre dit « Air tube ». Les kits des fabricants vont concentrer les ondes dans le conduit auditif. Le cordon faisant antenne. Voir les recommandations du Département de la santé Californien.
Et surtout préférez toujours les zones de bonnes couvertures pour communiquer (3 et 4 barres sur l’écran de votre mobile)
Évitez de téléphoner en vous déplaçant (voiture, trains, métro, etc) ou dans les zones de mauvaise connexion (1 et 2 barre sur l’écran de votre mobile). Vos téléphones portable vont se mettre en puissance maximum et vous exposer encore plus.
En préservant la période de repos consacrée au sommeil:
Ne mettez-pas votre smartphone sous votre tête ou votre oreiller
Mettez-le à distance de votre lit et si possible en mode avion ( les différentes sollicitations dues à votre téléphone portable peuvent gravement nuire à votre repos et à votre équilibre psychologique du fait d’un sommeil peu récupérateur)
Et pour les malades et les porteurs d’implants cardiaques :
Les malades cardiaques doivent éviter de garder leurs téléphones au contact du corps et en particulier au niveau d’une poche de chemise ou de veste
Femmes enceintes
Des consignes plus strictes pour les femmes enceintes
Évitez impérativement tous les contacts entre un appareil connecté et le ventre de la futur maman à tous les stades de la grossesse
A la naissance de l’enfant s’assurer de garder le téléphone portable à distance de l’enfant y compris pour les nounous ou le personnel soignant.
Enfants
En retardant pour les enfants l’âge du premier téléphone après 14 ans
Toutes les recommandations ci-dessus sont encore plus importantes pour les enfants et les jeunes dont la morphologie est encore plus sensible aux niveaux d’expositions aux ondes. Les niveaux de sécurité n’ont été mises en place que pour des adultes, qui plus est de grande taille (militaire GI américain).
L’ANSES a particulièrement insisté sur ce point lors de son rapport de juillet 2016. state= »open »]
Professionnels
Dans le milieu professionnel une approche encore plus rigoureuse de votre employeur
Celui-ci doit vous fournir un smartphone avec un DAS (Débit d’absorption spécifique) tête et tronc le plus faible possible (la réglementation étant toujours défaillante à ce jour, la seule protection réelle est de maintenir votre téléphone à distance).
Pour éviter l’utilisation de plusieurs téléphones portables, prévoir des doubles SIM ou plus ce qui va limiter l’exposition par deux ou par trois
La fourniture indispensable de Kit mains libres AIR TUBE surtout dans les endroits en open space où téléphoner en haut-parleur est impossible.
En fonction des flottes de téléphones portables déjà en place , s’assurer de leurs niveaux de DAS réels en utilisant la base de données existantes DATA ANFR que nous les avons obligés à publier.
En cas de DAS élevés, en informer les employés et prévoir un signalement et un suivi auprès de la médecine du Travail. Si possible prévoir au plus vite un remplacement et une fiche de bonne utilisation.
Prof. em. Prof. Dr. med. habil. Karl Hecht (Allemagne) (*)
Dans une interview réalisée par Lothar Moll dans le documentaire de Klaus Scheidsteger(1), le Prof. Dr. med. Karl Hecht nous explique la différence fondamentale qui existe entre les fréquences de résonance de Schumann (champ pulsé naturel de la Terre) de 7,83 Hz et celles du wifi (pulsée à 10 Hz) (2).
L’onde de Schumann s’est développée dans notre organisme au cours de l’évolution.
Elle contrôle toute notre horloge biologique interne pour parler simplement.
Les ondes de 10 Hz comme les ondes produites par le wi-fi sont en impulsions d’extrêmement basses fréquences (hyperfréquences pulsées en extrêmement basses fréquences). Cela signifie que se sont de fortes impulsions qui ne sont pas ondulatoires.
Les ondes wi-fi sont de puissant déstabilisateurs de l’organisme. Nous devons faire très attention parce que ces ondes, ont aussi la capacité de nous perturber. De nombreuses preuves existent !
Les humains possèdent une mémoire de la douleur et de la même manière, ils ont une mémoire vis à vis des ondes radios (ou aux modulations des hyperfréquences).
Même après la disparition des effets d’un rayonnement, les symptômes peuvent toujours réapparaître.
Il existe des études qui prouvent qu’une fois que le wi-fi s’est établi d’une manière négative dans les mécanismes myoélectriques de l’organisme, l’être humain souffre mais il ne sait pas pourquoi.
Nous, ainsi que tous les médecins, devons empêcher aussi vite que possible, le développement de cette mémoire de la douleur. C’est-à-dire, le développement d’une mémoire aux ondes radios.
Cela peut conduire à la catastrophe. Comme la mémoire de la douleur qui peut persister plusieurs années dans l’organisme, notamment quand elle est générée par des ondes aussi intenses que celles provenant du wi-fi. Par la suite, cela peut avoir de lourdes conséquences car il s’agit de mécanismes de stress qui fonctionnent en permanence. Il n’est pas étonnant que des burn-out et des dysfonctionnements puissent se développer de cette façon-là.
Une mesure électromyographique a montré en particulier chez les sujets préalablement exposés aux effets prolongés du wi-fi que même sans exposition aux ondes électromagnétiques, la composante de 10 Hz reste présente.
Vous pouvez voir ci-dessous l’électromyogramme (courbe du bas en rouge) qui montre l’activité électrique des muscles et l’électrocardiogramme (courbe du haut en jaune) qui montre l’activité électrique du cœur. Une fois que vous commencez à générer des ondes radios, vous pouvez voir ici le cycle de 10 Hz du wi-fi qui apparaît.
Électromyogramme (EMG) enregistré lors d’une exposition à une fréquence d’impulsion de 10 Hz- avec le routeur WLAN (Wi-fi) en fonctionnement.
Figure 1 : EMG (Électromyogramme ) après une longue exposition aux ondes WLAN (wi-fi) 36 heures avant.
-à gauche : une série d’EMG au cours du temps (courbe du haut : comparaison avec l’ECG (électrocardiogramme) au cours du temps)
-à droite : EMG, domaine de fréquence par transformation en série de Fourier (FFT)
Figure2 : même procédure que la figure 1, après 3 minutes d’exposition WLAN (wi-fi)
Figure 3 : identique à la figure 2 mais 30 secondes plus tard.
EMG témoin, 6 minutes après l’exposition.
Même après avoir coupé la source de wi-fi, l’oscillation demeure. Cela signifie que le cycle de pulsations du wi-fi est mémorisé dans le tissu musculaire. Comme dans le cas de la mémoire de la douleur, une mémoire d’ondes radios s’est développée, ce qui doit être pris en compte.
Selon l’auteur de l’étude, cela peut être terrible pour nos enfants et les jeunes, en particulier dans les écoles où le wi-fi serait introduit. Étant donné que les enfants sont beaucoup plus sensibles que les adultes, cela peut endommager gravement le système nerveux ainsi que l’organisme tout entier.
Cela signifie que les enfants pourraient bien être affaiblis toute leur vie !
En fait, nous sommes soumis au stress constant de cette pulsation wi-fi, et à cause de cela, le système immunitaire est affaibli. On devient plus sensible et selon son mode de vie, on peut partiellement compenser les effets ou devenir vraiment très malade voire même se suicider.
Autrement dit, même quand le wi-fi est désactivé, on conserve toujours la mémoire des fréquences du wi-fi dans nos cellules. Les études scientifiques l’ont prouvé. C’est incroyable et dangereux ! Il faut garder cela à l’esprit. En outre, d’autres études montrent depuis bien longtemps que si ces ondes frappent constamment l’être humain, elles ont tendances à s’accumuler. Ceci signifie qu’elles se renforcent constamment. C’est le deuxième facteur qu’il faut prendre en compte. Cela veut dire également que les personnes deviennent de plus en plus sensibles et plus malades. De nombreuses maladies peuvent survenir, surtout le burn-out, les maux de tête et les troubles du sommeil. Tout cela est lié !
Beaucoup de jeunes utilisent leur téléphone portable et ils deviennent suicidaires ou dépressifs. Lorsqu’ils sont dans un état fort dépressif et que le risque d’un suicide apparaît, ils doivent être aidé.
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(*) Prof. Karl Hecht, né en 1924.
– Dr med. habil. Professeur de neurophysiologie et professeur émérite de physiologie pathologique expérimentale et clinique de l’Université Humboldt (Charité) à Berlin.
-Membre de l’Académie internationale d’astronautique. -Membre de l’Académie des sciences de Russie. -Président d’honneur de l’Académie européenne de prévention médicale. Au cours des 20 dernières années, ses principales recherches furent orientées dans les domaines tels que : le stress, le sommeil, la chrono-médecine, la médecine environnementale, la médecine spatiale,ainsi que les sciences de la santé et la naturopathie holistique.£
Il est l’auteur de 48 ouvrages spécialisés et documentaires. Il a également publié plus de 800 articles scientifiques dans des revues nationales et internationales.
Rencontre de Benoît Louppe, directeur du bureau Etudes & Vie avec le Pro. Dr. Med. habil. Karl Hecht du 4 au 6 octobre 2019 à Mainz (Allemagne). Symposium sur la 5 G et les conséquences des technologies sans fils sur la santé.
(*) Sources :
(1) Lothar Moll et Klaus Scheidsteger – Documentaire allemand traduit en français : « Les effets des ondes de la radiocommunication mobile sur la santé – Vérifier les faits ». 2019
(2) Prof. em. Prof. Dr. med. habil. Karl Hecht “Welche Unterschiede bestehen für die men-schliche Gesundheit bei Wirkungen des Schumann-10-Hz geomagnetischen Felds und bei Wirkung der 10-Hz-Pulsation der WLAN elektromagnetischen Strahlungen?”
(3) Prof. em. Prof. Dr. med. habil. Karl Hecht – Dr. rer. nat. Hans-Ulrich Balzer I.S.F. Institut für Stressforschung Forschung und Entwicklung – “Biologische Wirkungen Elektromagnetischer Felder im Frequenzbereich 0 – 3 GHz auf den Menschen Studie russischer Literatur von 1960 – 1996” – Berlin, 1997.
Copyright – Traduction et présentation – Benoît Louppe 08/2019
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